[Couplet 1 : Furax Barbarossa]
Voila 10 heures que je fais les 100 pas au milieu de mes tracas
A l'heure où dorment mes semblables, j'ai préparé le Drakar
J'ai frappé sur l'enclume, pour qu'à l'aube elle soit prête
Bref, j'ai affiné les lames pour que la mort soit brève
Combien de temps vont-ils régner sans se faire pendre?
J'ai invoqué les guerriers, des ossements et du sang de serpent
J'ai peint sur mon visage les traits de mes colères
J'envisage de faire le tri entre les traîtres et les collègues
J'ai pris ce que j'avais de pire; de la compassion ?
Non, chaque mur de la ville deviendra celui des lamentations
Opprimé sous une armure de pierres, un ange de paix
Te montrera ce que peut faire un glaive contre un manche de pelle
A bout de nerfs, tendu comme c'est pas permis
Je préfère mourir en soldat, que pendu par un tas de vermines
Vas-t'en! Je suis poussé par Satan, à ce qui paraît
Que le ciel m'attende, c'est un sale temps pour disparaître
[Couplet 2 : Lamser]
Alors au début j'ai des bois secs qui finissent en braises, mon feeling en berne
Car sous la tente j'rêve, c'est le calme avant la tempête
Rien n'éclaire la plaine, j'attends le moment propice
Atroce pour l'ennemi, depuis trop petit j'ai la prose trop triste
Merde, les braves ne savent baisser les bras
A l'aube, la charge fera l'effet d'une attaque cérébrale
Dark, j'ai mes armes pour faire mal à ces âmes
Assez sale, c'est ça les techniques noires à César
J'implore les cieux qu'ils les brûlent avant de fouler ces terres
Le froid de ma lame connait le sort que je leur réserve
Qu'ils saignent et souffrent sans jamais connaitre ma trêve
Qu'ils regrettent leurs actes avant de connaître ma guerre
En ce matin de mai, si longues sont les prières
Mais l'herbe tremble, l'éclaireur rentre agrippé à la crinière
Ce sera leurs bêtes d'or face à nos coeurs tendres
Le ciel peut m'attendre, merde, ils devront marcher sur mes cendres
Voila 10 heures que je fais les 100 pas au milieu de mes tracas
A l'heure où dorment mes semblables, j'ai préparé le Drakar
J'ai frappé sur l'enclume, pour qu'à l'aube elle soit prête
Bref, j'ai affiné les lames pour que la mort soit brève
Combien de temps vont-ils régner sans se faire pendre?
J'ai invoqué les guerriers, des ossements et du sang de serpent
J'ai peint sur mon visage les traits de mes colères
J'envisage de faire le tri entre les traîtres et les collègues
J'ai pris ce que j'avais de pire; de la compassion ?
Non, chaque mur de la ville deviendra celui des lamentations
Opprimé sous une armure de pierres, un ange de paix
Te montrera ce que peut faire un glaive contre un manche de pelle
A bout de nerfs, tendu comme c'est pas permis
Je préfère mourir en soldat, que pendu par un tas de vermines
Vas-t'en! Je suis poussé par Satan, à ce qui paraît
Que le ciel m'attende, c'est un sale temps pour disparaître
[Couplet 2 : Lamser]
Alors au début j'ai des bois secs qui finissent en braises, mon feeling en berne
Car sous la tente j'rêve, c'est le calme avant la tempête
Rien n'éclaire la plaine, j'attends le moment propice
Atroce pour l'ennemi, depuis trop petit j'ai la prose trop triste
Merde, les braves ne savent baisser les bras
A l'aube, la charge fera l'effet d'une attaque cérébrale
Dark, j'ai mes armes pour faire mal à ces âmes
Assez sale, c'est ça les techniques noires à César
J'implore les cieux qu'ils les brûlent avant de fouler ces terres
Le froid de ma lame connait le sort que je leur réserve
Qu'ils saignent et souffrent sans jamais connaitre ma trêve
Qu'ils regrettent leurs actes avant de connaître ma guerre
En ce matin de mai, si longues sont les prières
Mais l'herbe tremble, l'éclaireur rentre agrippé à la crinière
Ce sera leurs bêtes d'or face à nos coeurs tendres
Le ciel peut m'attendre, merde, ils devront marcher sur mes cendres
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