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Confessions - VII (Ft. Fayçal)
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Confessions VII (Ft. Fayçal)

Confessions - VII (Ft. Fayçal)
[Couplet 1 : VII]
J’arrive au monde un samedi de juillet
Dans la chaleur du sud, rien ne sert de crier
Trahi à la naissance, le daron n’est pas venu
Un bébé toute seule ma mère y est parvenue
Ma grand-mère nous loge, on attend les beaux jours
Les pieds dans le plâtre et la chaussure dans la poche
Le gosse a le bel œil et le cheveu bouclé
Le voleur accueilli, rien n'est maintenu sous clef
J’apprends dans le cyclone que la vie est étrange
Que les bras se tatouent, que les poulets dérangent
Que des anges traînent en taule
Les bienfaits de l’amour tout comme les ravages de l’alcool
A l’école je rêvasse, m’évade et je revis
Je revois ma grand-mère dans les rues de Cracovie
Mes voyages au Maroc avaient tout de magique
Les temps de mon enfance n’avaient rien de tragique

[Refrain : Fayçal]
Sur la route de la perdition, c’est des secrets que l’on confesse
Des déroutes de l’érudition, du concret que l’on professe
Parfaire les déboires d’une vie, faire de son cœur un spectacle
Et boire avec envie cette liqueur dans ce réceptacle
Au goût d’une jeunesse enfumée que l’on délaisse au final
Laisse la finesse me parfumer quand c’est le dégoût que j’inhale
Du péché originel à l’adolescent marginal
L’enfant original s’est asséché dans mes prunelles
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