Eh Médine Salaam Ibrahim Salaam, Salaam
C'est mon message, celui de la paix
A défaut de l'dire, j'ai choisi de l'rapper
J't'le rappelle et tu réponds à l'appel
Pas de voix mielleuse qui traverse le ciel
Une manière comme une autre de l'écrire
D'une manière maladroite peut-être à vous de l'dire
Ce qui m'importe c'est rien que le score
Qu'on me pardonne avant que vienne ma mort
Le silence, puis juste une boucle poudrière
Via Constantine, fils de victime ouvrière
Sincère, depuis Adam les hommes s'écrièrent
Qu'y a trop d'problèmes et qu'on exauce pas leurs prières
Un coquillage contre l'oreille pour entendre la mer
Et trop longtemps j'ai cru qu'les hommes étaient sincères
Rage, haine, violence, adversaire
Moi j'dresse mon bilan car aujourd'hui j'pleure plus qu'hier
La vie c'est trop dure
Mentale torture, résultat Médine trois mois sans écriture
J'ai plus l'courage et mon cœur fait des siennes
Mais j'puise mon bonheur au fond des iris laotiennes
Ils m'ont cru louche du collège à la Terminale
Jeune, barbu, silencieux qui termine mal
Lacrymal goutte malgré mon surplus hormonal
Beaucoup voudrait voir ma foi en phase terminale
Mais qu'ils oublient vouloir nous faire la guerre
Qu'ils oublient vouloir éteindre la lumière
On passe nos vies à se justifier
J'le ferais encore comme ce message de paix
C'est mon message, celui de la paix
A défaut de l'dire, j'ai choisi de l'rapper
J't'le rappelle et tu réponds à l'appel
Pas de voix mielleuse qui traverse le ciel
Une manière comme une autre de l'écrire
D'une manière maladroite peut-être à vous de l'dire
Ce qui m'importe c'est rien que le score
Qu'on me pardonne avant que vienne ma mort
Le silence, puis juste une boucle poudrière
Via Constantine, fils de victime ouvrière
Sincère, depuis Adam les hommes s'écrièrent
Qu'y a trop d'problèmes et qu'on exauce pas leurs prières
Un coquillage contre l'oreille pour entendre la mer
Et trop longtemps j'ai cru qu'les hommes étaient sincères
Rage, haine, violence, adversaire
Moi j'dresse mon bilan car aujourd'hui j'pleure plus qu'hier
La vie c'est trop dure
Mentale torture, résultat Médine trois mois sans écriture
J'ai plus l'courage et mon cœur fait des siennes
Mais j'puise mon bonheur au fond des iris laotiennes
Ils m'ont cru louche du collège à la Terminale
Jeune, barbu, silencieux qui termine mal
Lacrymal goutte malgré mon surplus hormonal
Beaucoup voudrait voir ma foi en phase terminale
Mais qu'ils oublient vouloir nous faire la guerre
Qu'ils oublient vouloir éteindre la lumière
On passe nos vies à se justifier
J'le ferais encore comme ce message de paix
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