Ozkar:
On est vivant on est pas bien
Le matin le tamien j’sais pas ou j'serai dans 10 ans
Prend le jour comme il nous advient
J'suis en bas dans le triangle
Avec Martin dans le Martin
Transperce tout le sale en brillant
Mon visage sous son crayon
Au soleil et à la fille d’en haut devant eux
J'suis comme Figaro Figaro
Ils pensent ça va pas bouger
C'est pour mieux les perdre si jamais
On m’a pas dit le bien le mal
On m’a dit comment disparaître
Souvent s'bat au regard
Avec les yeux dans le miroir
On veut un rang en plus pour le zéro
Un peu d'calme dans le minois
Envoie comme 2 3 pigeons
Mais pas pour les tours d’ivoire
Urde:
J'repense à toi au milieu du son
J'pense pas à moi ça serait un peu trop sur ma tête que sur le coeur y'en a gros
J'ai grandi entre le Grün et la Dore
Avec les zins et les autres jusqu'à la mort
Prendre le carton s'il faut avant le sifflet final
J'savais pas qu'on s'rait capable de s'faire si mal
Si loin d'la production ils verront jamais l'réel
Dans leurs yeux frappe du Sheriff contre le Real
Sous le gris mange le gras
Réfléchis à demain comme si on vivait aujourd'hui
J'explose en vol autour de moi mes éclats ils scintillent
Quand y'a un peu de chair les vautours suivent
Donc on fait gaffe mais pas vraiment
On s'protège on s'étourdit
J'crois qu'on pourra jamais vraiment tout s'dire
Du coup on peine on cherche on trouve l'oubli
On est vivant on est pas bien
Le matin le tamien j’sais pas ou j'serai dans 10 ans
Prend le jour comme il nous advient
J'suis en bas dans le triangle
Avec Martin dans le Martin
Transperce tout le sale en brillant
Mon visage sous son crayon
Au soleil et à la fille d’en haut devant eux
J'suis comme Figaro Figaro
Ils pensent ça va pas bouger
C'est pour mieux les perdre si jamais
On m’a pas dit le bien le mal
On m’a dit comment disparaître
Souvent s'bat au regard
Avec les yeux dans le miroir
On veut un rang en plus pour le zéro
Un peu d'calme dans le minois
Envoie comme 2 3 pigeons
Mais pas pour les tours d’ivoire
Urde:
J'repense à toi au milieu du son
J'pense pas à moi ça serait un peu trop sur ma tête que sur le coeur y'en a gros
J'ai grandi entre le Grün et la Dore
Avec les zins et les autres jusqu'à la mort
Prendre le carton s'il faut avant le sifflet final
J'savais pas qu'on s'rait capable de s'faire si mal
Si loin d'la production ils verront jamais l'réel
Dans leurs yeux frappe du Sheriff contre le Real
Sous le gris mange le gras
Réfléchis à demain comme si on vivait aujourd'hui
J'explose en vol autour de moi mes éclats ils scintillent
Quand y'a un peu de chair les vautours suivent
Donc on fait gaffe mais pas vraiment
On s'protège on s'étourdit
J'crois qu'on pourra jamais vraiment tout s'dire
Du coup on peine on cherche on trouve l'oubli
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