[Round 1 : Aparzite]
Faire du sale ou être technique, j’aime bien les deux
Dans ma tête ça gueule que j’battle l’aveugle, j’vais t’en mettre plein les yeux
Tes parents t’ont pas fini, c’est des paresseux
Ta naissance floppe tout d’suite, ils t’traitaient comme des pauvres touristes
Personne voulait t’garder, on t’appelait Chuck Nourrice
Sans vouloir être racistе, j’envoie sur Oliver Twist du bacon
Avеugle et arabe, fils tu déconnes
C’est quoi ? Tu tiens les murs puis tu les cognes ?
T’es rien sans ta canne, c’est trop chaud garçon
Ton flow c’est ta faiblesse, plein d’écholocation
Tu peux tout savoir au son d’ma voix, t’analyses mon ton
T’as entendu qu’ma gueule était pleine de boutons
J’te raconte même une histoire si tu touches mon front
T’es qu’un boug sans nom, y aller doucement : non
J’te mets un entonnoir dans l’cul et j’te tousse dans l’fion
T’as des clés d’12 dans l’fond, t’es dans la merde pauvre type
Olivier ne manque pas d’air, il va quand même prendre une olive
T’as dit à Saminem que c’était l’plus faible des hommes mais c’était triste, la vache
Parce que t’es aveugle fils de pute, donc même Saminem il t’nique ta race
L’autre fois j’ai eu un belge, cette fois-ci un aveugle, encore un handicapé, non mais j’y crois pas
Houuu houuu, tu n’me vois pas ?
[Round 1 : Oliver Twist]
OK, vite fait avant d’commencer
J’vais vous montrer la différence entre ceux qui font l’job et une pouf
Toi t’ouvriras ta gueule quand tu sauras contrôler une foule
En attendant j’vais t’éclater ta tête de folle
Houuu houuu j’te vois pas… tu prends ta main et tu t’la fous dans l’boule
C’était un flip, okay
Bon, au RC, Aparzite il fait dans la provoc’
Mais à Metz t’es un mec tranquille qui vit en coloc’
Bah ouais… « mais comment il sait ? »
Alors arrête de jouer le mec de rue
Tu serais bien plus crédible à nous jouer un air de flûte
Encore un p’tit bourge qui fait du battle pour être comme nous mais on n’vit pas dans la même France, tu t’égares
Attaque sur c’que tu veux : foyer, galère, perte de vue, on a pas les mêmes chances du départ
Bah oui, et oui
Moi quand j’dis qu’ça tue, je n’parle pas d’homicide
Mais en une phrase j’t’envoie 4 gros missiles
Toi, ton rap ne touche que les enfants et tu t’caches derrière ton catholicisme
Tu m’feras pas croire que t’es pratiquant
C’que t’appelles le cartel, nous on appelle ça l’Vatican
Mais il paraît qu’en clash t’en as buté pas mal, toi tu portes le deuil de ces tapettes
Bon bah continuez de l’sous-estimer pendant qu’il cueille des pâquerettes
Hey, le p’tit Lucas est un filou
T’imites Saint-Soul pour taper dans l’œil de Fili
« Okay, c’est Aparzite, je rêve d’aller à Montréal »
Enchanté, c’est Oliver, j’vais t’renvoyer dans l’monde réel
Parce que ta vision est sectaire
Tu penses que l’battle rap est une culture à part entière
Okay, mais nique ta mère
Toi tu fais du Lamanif en nul, lui il fait du Alkpote en moins bien
Résultat des courses : vous êtes tous des tchoins
Okay ? Et j’ai rien contre le fait que tu sois alsacien
(Aparzite : j’suis pas alsacien)
T’es pas Alsacien ? J’m’en branle
Moi c’qui m’dérange, c’est qu’ton encre noire fait des tâches sur ta rime de p’tit blanc, enculé d’dalmatien
On est différents Aparazite : moi j’me situe entre l’ébène et l’ivoire tel le contraste qu’on sacralise
Tellement bre-som que j’peux faire gerber des satanistes, toi t’as des blagues racistes et des phases faciles
Moi j’ai une barre à mine, j’débarque chez toi, j’prends tout c’qu’il y a et ça fait appart vide
Du rital tu n’es qu’une parodie, j’conclue mes phrases par mes initiales, j’ai des barz OT
C’est pour ça qu’j’t’encule de la Lorraine jusqu’à Nîmes, pardi
Ce type est nul donc nous l’violons sur quatre saisons, comme Vivaldi
Faire du sale ou être technique, j’aime bien les deux
Dans ma tête ça gueule que j’battle l’aveugle, j’vais t’en mettre plein les yeux
Tes parents t’ont pas fini, c’est des paresseux
Ta naissance floppe tout d’suite, ils t’traitaient comme des pauvres touristes
Personne voulait t’garder, on t’appelait Chuck Nourrice
Sans vouloir être racistе, j’envoie sur Oliver Twist du bacon
Avеugle et arabe, fils tu déconnes
C’est quoi ? Tu tiens les murs puis tu les cognes ?
T’es rien sans ta canne, c’est trop chaud garçon
Ton flow c’est ta faiblesse, plein d’écholocation
Tu peux tout savoir au son d’ma voix, t’analyses mon ton
T’as entendu qu’ma gueule était pleine de boutons
J’te raconte même une histoire si tu touches mon front
T’es qu’un boug sans nom, y aller doucement : non
J’te mets un entonnoir dans l’cul et j’te tousse dans l’fion
T’as des clés d’12 dans l’fond, t’es dans la merde pauvre type
Olivier ne manque pas d’air, il va quand même prendre une olive
T’as dit à Saminem que c’était l’plus faible des hommes mais c’était triste, la vache
Parce que t’es aveugle fils de pute, donc même Saminem il t’nique ta race
L’autre fois j’ai eu un belge, cette fois-ci un aveugle, encore un handicapé, non mais j’y crois pas
Houuu houuu, tu n’me vois pas ?
[Round 1 : Oliver Twist]
OK, vite fait avant d’commencer
J’vais vous montrer la différence entre ceux qui font l’job et une pouf
Toi t’ouvriras ta gueule quand tu sauras contrôler une foule
En attendant j’vais t’éclater ta tête de folle
Houuu houuu j’te vois pas… tu prends ta main et tu t’la fous dans l’boule
C’était un flip, okay
Bon, au RC, Aparzite il fait dans la provoc’
Mais à Metz t’es un mec tranquille qui vit en coloc’
Bah ouais… « mais comment il sait ? »
Alors arrête de jouer le mec de rue
Tu serais bien plus crédible à nous jouer un air de flûte
Encore un p’tit bourge qui fait du battle pour être comme nous mais on n’vit pas dans la même France, tu t’égares
Attaque sur c’que tu veux : foyer, galère, perte de vue, on a pas les mêmes chances du départ
Bah oui, et oui
Moi quand j’dis qu’ça tue, je n’parle pas d’homicide
Mais en une phrase j’t’envoie 4 gros missiles
Toi, ton rap ne touche que les enfants et tu t’caches derrière ton catholicisme
Tu m’feras pas croire que t’es pratiquant
C’que t’appelles le cartel, nous on appelle ça l’Vatican
Mais il paraît qu’en clash t’en as buté pas mal, toi tu portes le deuil de ces tapettes
Bon bah continuez de l’sous-estimer pendant qu’il cueille des pâquerettes
Hey, le p’tit Lucas est un filou
T’imites Saint-Soul pour taper dans l’œil de Fili
« Okay, c’est Aparzite, je rêve d’aller à Montréal »
Enchanté, c’est Oliver, j’vais t’renvoyer dans l’monde réel
Parce que ta vision est sectaire
Tu penses que l’battle rap est une culture à part entière
Okay, mais nique ta mère
Toi tu fais du Lamanif en nul, lui il fait du Alkpote en moins bien
Résultat des courses : vous êtes tous des tchoins
Okay ? Et j’ai rien contre le fait que tu sois alsacien
(Aparzite : j’suis pas alsacien)
T’es pas Alsacien ? J’m’en branle
Moi c’qui m’dérange, c’est qu’ton encre noire fait des tâches sur ta rime de p’tit blanc, enculé d’dalmatien
On est différents Aparazite : moi j’me situe entre l’ébène et l’ivoire tel le contraste qu’on sacralise
Tellement bre-som que j’peux faire gerber des satanistes, toi t’as des blagues racistes et des phases faciles
Moi j’ai une barre à mine, j’débarque chez toi, j’prends tout c’qu’il y a et ça fait appart vide
Du rital tu n’es qu’une parodie, j’conclue mes phrases par mes initiales, j’ai des barz OT
C’est pour ça qu’j’t’encule de la Lorraine jusqu’à Nîmes, pardi
Ce type est nul donc nous l’violons sur quatre saisons, comme Vivaldi
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