[Intro: Keny Arkana]
Ouvre ton cœur et vois le monde
Vois le besoin et pas la demande
Les mains de lumière vient de l'ombre
Le monde s'écroule dans la torumente
Tous mentent et l'humain meurt doucment
Tout ce temps perdu pour que le sou rentre
Souvent on se perd, vie trop saoulante
On triomphera qu'en se soudant
[Couplet 1: Keny Arkana]
Le jour où Babylone tombera ça sera le jour où je danserai
Flamme de Myriam de Magdala avec quelque chose de Florence Rey
Je triche pas mais transgresse et je retranscris et transmets
Et si les croisés nous transpercent c'est pas de roses que je lancerais
Je cherche la paix au milieu de gladiatieurs
De fois je me dis que c'est comme chercher de l'humanité lorsqu'on t'attache au radiateur
Paradis des cœurs coupés à la peur
J'ai pris la plume comme on prend l'épée pour défendre une liberté qu'il n'y a plus
Contre leur folie qui fabule, leurs crimes et leurs abus
On pète les plombs parce qu'on sature ça fait combien de siècles que ça dure? Putain!
L'histoire de l'homme est son histoire
Il n'y a que lui qui puisse changer les dernières lettres de son grimoire
Passe de l'autre côté du miroir viens voir
La vie de l'intérieur, ramène le cœur à la même couleur que l'ivoire
Chemin du retour, la mémoire nous revient comme la victoire
Le monde s'écroule mais on ne craindra pas demain parce qu'on y croit
Ouvre ton cœur et vois le monde
Vois le besoin et pas la demande
Les mains de lumière vient de l'ombre
Le monde s'écroule dans la torumente
Tous mentent et l'humain meurt doucment
Tout ce temps perdu pour que le sou rentre
Souvent on se perd, vie trop saoulante
On triomphera qu'en se soudant
[Couplet 1: Keny Arkana]
Le jour où Babylone tombera ça sera le jour où je danserai
Flamme de Myriam de Magdala avec quelque chose de Florence Rey
Je triche pas mais transgresse et je retranscris et transmets
Et si les croisés nous transpercent c'est pas de roses que je lancerais
Je cherche la paix au milieu de gladiatieurs
De fois je me dis que c'est comme chercher de l'humanité lorsqu'on t'attache au radiateur
Paradis des cœurs coupés à la peur
J'ai pris la plume comme on prend l'épée pour défendre une liberté qu'il n'y a plus
Contre leur folie qui fabule, leurs crimes et leurs abus
On pète les plombs parce qu'on sature ça fait combien de siècles que ça dure? Putain!
L'histoire de l'homme est son histoire
Il n'y a que lui qui puisse changer les dernières lettres de son grimoire
Passe de l'autre côté du miroir viens voir
La vie de l'intérieur, ramène le cœur à la même couleur que l'ivoire
Chemin du retour, la mémoire nous revient comme la victoire
Le monde s'écroule mais on ne craindra pas demain parce qu'on y croit
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