[Paroles de "Coup pour coup"]
[Couplet 1]
Eh, y’a pas qu’du Coca dans la teille (nan), mais y'a qu’les potos dans la caisse (ouais)
Y’a pas d'coco dans mon zen nan, et fuck un gros coup sur mon bec (fuck fuck fuck)
J’vis pour les moments magiques, pas pour les voitures qui coûtent du fric
Quand j’suis fonc-dé, j’suis nostalgique, j’regarde combien on a pris des risques (aight)
Ça fait toc-toc-toc à six du mat', ouais c’est nous les p’tits fils du diable (ouais c’est nous)
Vas-y tire une taffe avant l’procès, le tribunal quand mon p’tit frère pleure, il simule pas
Parce que nos chances sont inégales et qu’on veut changer ça mais qu’trop souvent ça fini mal
J’pensais pas que le diable me charmerait, que l'concept du bonheur d'viendrait abstrait (-ait, -ait, -ait)
J’veux qu’on m'laisse tranquille, ouais j’suis comme une fille dans une boîte gay (ouais)
Ah ouais, ça y’est, les déprimes partent puis les revoilà
Parce qu’être dans ma tête, c’est aussi violent que Ferrara
[Refrain]
C’est quand tu n'attends plus rien que tout arrive où
Où tout arrive quand tu tentes le tout pour le tout
À qui tu peux faire confiance quand tu t'sens au bout d’ta vie ? Et que
T’en peux plus ouais de rendre coup pour coup ? Et que
C’est quand tu n'attends plus rien que tout arrive où
Où tout arrive quand tu tentes le tout pour le tout ?
À qui tu peux faire confiance quand tu t'sens au bout d’ta vie ? Et que
T’en peux plus ouais de rendre coup pour coup ?
[Couplet 2]
Quand la lumière traversera la pièce, j’serai déjà parti vers une autre vie
Ambition maladive, j’vais jamais trouver le monde trop petit (jamais)
Entre le poids d’mes pêchés et le prix d’mes erreurs, j’attends qu'le diable m’envoie son devis
On m’dit d’me dépêcher, qu'le temps est une horreur, à cause de vous, je pense trop la nuit
Le monde aujourd’hui bouge tellement vite, à présent mon père parle Lingala
Lui et moi séparé par l’Afrique et quand j’vais l'voir, j’suis plus proche du Nirvana
Le plus vieux continent ne guérit pas, ses vielles histoires remplies d'guérillas
Pendant qu’on s’bat contre des regards désinhibés par les shots de tequila
Y’a pas qu'des bonbons dans la fête nan, y’a pas qu'des gros cons dans la hess nan
Y’a beaucoup d'moutons qui s’engraissent ouais, révoltons-nous dans le tieks ouais
Où est la vie dont on a rêvé quand on était gosse mais pas endetté
Avant qu'l’espoir s’envole, parte en fumée dans un joint que t’as fait tourner
[Couplet 1]
Eh, y’a pas qu’du Coca dans la teille (nan), mais y'a qu’les potos dans la caisse (ouais)
Y’a pas d'coco dans mon zen nan, et fuck un gros coup sur mon bec (fuck fuck fuck)
J’vis pour les moments magiques, pas pour les voitures qui coûtent du fric
Quand j’suis fonc-dé, j’suis nostalgique, j’regarde combien on a pris des risques (aight)
Ça fait toc-toc-toc à six du mat', ouais c’est nous les p’tits fils du diable (ouais c’est nous)
Vas-y tire une taffe avant l’procès, le tribunal quand mon p’tit frère pleure, il simule pas
Parce que nos chances sont inégales et qu’on veut changer ça mais qu’trop souvent ça fini mal
J’pensais pas que le diable me charmerait, que l'concept du bonheur d'viendrait abstrait (-ait, -ait, -ait)
J’veux qu’on m'laisse tranquille, ouais j’suis comme une fille dans une boîte gay (ouais)
Ah ouais, ça y’est, les déprimes partent puis les revoilà
Parce qu’être dans ma tête, c’est aussi violent que Ferrara
[Refrain]
C’est quand tu n'attends plus rien que tout arrive où
Où tout arrive quand tu tentes le tout pour le tout
À qui tu peux faire confiance quand tu t'sens au bout d’ta vie ? Et que
T’en peux plus ouais de rendre coup pour coup ? Et que
C’est quand tu n'attends plus rien que tout arrive où
Où tout arrive quand tu tentes le tout pour le tout ?
À qui tu peux faire confiance quand tu t'sens au bout d’ta vie ? Et que
T’en peux plus ouais de rendre coup pour coup ?
[Couplet 2]
Quand la lumière traversera la pièce, j’serai déjà parti vers une autre vie
Ambition maladive, j’vais jamais trouver le monde trop petit (jamais)
Entre le poids d’mes pêchés et le prix d’mes erreurs, j’attends qu'le diable m’envoie son devis
On m’dit d’me dépêcher, qu'le temps est une horreur, à cause de vous, je pense trop la nuit
Le monde aujourd’hui bouge tellement vite, à présent mon père parle Lingala
Lui et moi séparé par l’Afrique et quand j’vais l'voir, j’suis plus proche du Nirvana
Le plus vieux continent ne guérit pas, ses vielles histoires remplies d'guérillas
Pendant qu’on s’bat contre des regards désinhibés par les shots de tequila
Y’a pas qu'des bonbons dans la fête nan, y’a pas qu'des gros cons dans la hess nan
Y’a beaucoup d'moutons qui s’engraissent ouais, révoltons-nous dans le tieks ouais
Où est la vie dont on a rêvé quand on était gosse mais pas endetté
Avant qu'l’espoir s’envole, parte en fumée dans un joint que t’as fait tourner
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