[Couplet 1]
J’oublie pas qui je suis, j’oublie pas d’où je viens
J’oublie pas que j’étais ce galérien qu'est parti de rien
J’oublie pas que pour beaucoup j’étais voué à l’échec
Mais j’ai appris que dans la vie faut jamais lâcher le steak
J’oublie pas mes racines, fier de mes origines
J’oublie pas ce temps où mon compte en banque criait "famine"
J’oublie pas ces années à traîner dans les ruelles
Entre la rue et l’école, petit voleur à Marseille
Insouciant à l’époque, je voulais refaire le monde
Un ballon de foot, un marqueur, je voulais croquer le monde
Mais j’ai vu le fossé entre les rêves et la réalité
La satiété de fric ne fait qu’empirer la société
Le frigo est vide mais je manquais de rien
Le daron se tue à la tâche pour qu’on mange à notre faim
Y disent qu’on était pauvres, pour moi j’étais millionnaire
Une mère et un père, c’est la plus grande des richesses sur Terre
J’ai connu les coups durs, maladies de la vie
Le chemin est parsemé d'embûches sur l’autoroute de la vie
Entre le bien et le mal, entre la terre et les cieux
Je lève les yeux vers le ciel et passe la confiance en Dieu
À l’heure où j’écris ce texte, je suis garé dans un parking
Les flics m’ont contrôlé n’ont trouvé que des mégots, des sticks
Les gens me prennent pour un fou, quand je rappe mes textes au feu rouge
Ça passe au vert, ça klaxonne, les vieux me regardent d’un air louche
J’oublie pas qui je suis, j’oublie pas d’où je viens
J’oublie pas que j’étais ce galérien qu'est parti de rien
J’oublie pas que pour beaucoup j’étais voué à l’échec
Mais j’ai appris que dans la vie faut jamais lâcher le steak
J’oublie pas mes racines, fier de mes origines
J’oublie pas ce temps où mon compte en banque criait "famine"
J’oublie pas ces années à traîner dans les ruelles
Entre la rue et l’école, petit voleur à Marseille
Insouciant à l’époque, je voulais refaire le monde
Un ballon de foot, un marqueur, je voulais croquer le monde
Mais j’ai vu le fossé entre les rêves et la réalité
La satiété de fric ne fait qu’empirer la société
Le frigo est vide mais je manquais de rien
Le daron se tue à la tâche pour qu’on mange à notre faim
Y disent qu’on était pauvres, pour moi j’étais millionnaire
Une mère et un père, c’est la plus grande des richesses sur Terre
J’ai connu les coups durs, maladies de la vie
Le chemin est parsemé d'embûches sur l’autoroute de la vie
Entre le bien et le mal, entre la terre et les cieux
Je lève les yeux vers le ciel et passe la confiance en Dieu
À l’heure où j’écris ce texte, je suis garé dans un parking
Les flics m’ont contrôlé n’ont trouvé que des mégots, des sticks
Les gens me prennent pour un fou, quand je rappe mes textes au feu rouge
Ça passe au vert, ça klaxonne, les vieux me regardent d’un air louche
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