[Couplet 1]
J’ai perdu l’sommeil, retrouvé l’envie d’vivre sans limite
Juste un tas d’buts, plus apercevoir un tas d’putes en vitrine
J’viens d’aucune classe sociale avec ma culture
Riche parmi les pauvres, qui m’empêche pas d’être pauvre parmi les riches
J’veux jamais être cramé comme Charlie Hebdo
J’préfère passer mes Samedi à lire des livres
Ça change rien, toute la nuit j’me questionne
J’marche entre les épiceries, les sex shop
Et j’réfléchis et je m’espionne quand j’recherche
Dans mes vieilles pensées, c’est vrai, ça m’rappelle aussi
Qu’entre toi et moi la danse était téméraire
Puis boire pour oublier les doutes du lendemain
Etre encore ivre pour s’endormir
J’aimerais être tout petit, que la foule se tire
Lors de mon dernier tour de piste et
Dans un bus de nuit, un couple me dit
"Ton sourire cache une partie d’toi
Quand les nuages nous offrent un croissant d’lune"
Pour me rappeler qu’la sincérité se marchande plus
[Refrain]
Je sais plus quoi penser, j’vois l’espoir en perte de vue
Et deux amants s’embrasser au clair de lune
La nuit, j’fais que parler d’moi, la journée j’dors
Quand j’devrais me réveiller et réchauffer ce café froid
[Couplet 2]
J’arrive pas à lire dedans, j’vis au jour le jour
Insomnie est devenue monnaie courante car le passé est étouffant
J’suis souvent à bout de souffle
Et j’en ai honte pire que quand j’suis à court de sous
J’aimerais pouvoir m’effacer autant qu’les saints, que mon bracelet catholique
Le soir, j’peux m’attacher à l’anonymat
Alors on peut parler des potes, nous pouvons parler d’lâcheté
Certains s’évadent comme le regard d’un garçon de café
Qui voit un tas d’pièces posé sur la table
J’aimerais lui prendre, payer le taxi, marre de marcher sur l’asphalte
En 20 ans d’vie, j’ai galéré dans tout Paname
Mais j’me donne plus l’droit d’me plaindre
Depuis que j’ai vu ce muet forcer sur sa voix
[Pont]
J’parcours la ville dans mes Nike trouées et mon survêt’ neuf
J’marche seul quand on pourrait être deux
Dans mes Nike trouées et mon survêt’ neuf
J’marche seul quand on pourrait être deux
[Refrain]
[Couplet 3]
Les yeux rouges, j’suis mangé par la fatigue
Le soleil se lève, j’suis hanté parce que ça va vite
Les gens sortent de boîte, les boulangeries ouvrent
Les métros recommencent à tourner
Ouais c’est le début de la journée
Il faut qu’je me couche, besoin de retrouver mon lit
J’vous assure, j’ai besoin de repousser l’envie d’vivre
Ça fait 24 heures que je m’arrête pas
C’est décidé il finira dans l’évier mon café froid
[Refrain]
J’ai perdu l’sommeil, retrouvé l’envie d’vivre sans limite
Juste un tas d’buts, plus apercevoir un tas d’putes en vitrine
J’viens d’aucune classe sociale avec ma culture
Riche parmi les pauvres, qui m’empêche pas d’être pauvre parmi les riches
J’veux jamais être cramé comme Charlie Hebdo
J’préfère passer mes Samedi à lire des livres
Ça change rien, toute la nuit j’me questionne
J’marche entre les épiceries, les sex shop
Et j’réfléchis et je m’espionne quand j’recherche
Dans mes vieilles pensées, c’est vrai, ça m’rappelle aussi
Qu’entre toi et moi la danse était téméraire
Puis boire pour oublier les doutes du lendemain
Etre encore ivre pour s’endormir
J’aimerais être tout petit, que la foule se tire
Lors de mon dernier tour de piste et
Dans un bus de nuit, un couple me dit
"Ton sourire cache une partie d’toi
Quand les nuages nous offrent un croissant d’lune"
Pour me rappeler qu’la sincérité se marchande plus
[Refrain]
Je sais plus quoi penser, j’vois l’espoir en perte de vue
Et deux amants s’embrasser au clair de lune
La nuit, j’fais que parler d’moi, la journée j’dors
Quand j’devrais me réveiller et réchauffer ce café froid
[Couplet 2]
J’arrive pas à lire dedans, j’vis au jour le jour
Insomnie est devenue monnaie courante car le passé est étouffant
J’suis souvent à bout de souffle
Et j’en ai honte pire que quand j’suis à court de sous
J’aimerais pouvoir m’effacer autant qu’les saints, que mon bracelet catholique
Le soir, j’peux m’attacher à l’anonymat
Alors on peut parler des potes, nous pouvons parler d’lâcheté
Certains s’évadent comme le regard d’un garçon de café
Qui voit un tas d’pièces posé sur la table
J’aimerais lui prendre, payer le taxi, marre de marcher sur l’asphalte
En 20 ans d’vie, j’ai galéré dans tout Paname
Mais j’me donne plus l’droit d’me plaindre
Depuis que j’ai vu ce muet forcer sur sa voix
[Pont]
J’parcours la ville dans mes Nike trouées et mon survêt’ neuf
J’marche seul quand on pourrait être deux
Dans mes Nike trouées et mon survêt’ neuf
J’marche seul quand on pourrait être deux
[Refrain]
[Couplet 3]
Les yeux rouges, j’suis mangé par la fatigue
Le soleil se lève, j’suis hanté parce que ça va vite
Les gens sortent de boîte, les boulangeries ouvrent
Les métros recommencent à tourner
Ouais c’est le début de la journée
Il faut qu’je me couche, besoin de retrouver mon lit
J’vous assure, j’ai besoin de repousser l’envie d’vivre
Ça fait 24 heures que je m’arrête pas
C’est décidé il finira dans l’évier mon café froid
[Refrain]
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