[Intro : Freeman] x2
Regard transparent unique anémique on vit comme on peut
Vé, comme on peut donner c'qu'on veut
Même en étant personne nos cœurs sonnent marre des creux
Anonymes on le reste tels des lépreux
[Couplet 1 : Shurik'n]
Le jour dort encore mais lui se lève
Y a que les tours et les chats dehors mais lui s'lève
À chaque fois le même effort, jamais d'trève
À chaque fois le même décor, lentement il en crève
Enchaîné à sa chienne de vie, chaque morsure l'affaiblit
Dans un puit de soucis il croupit près des portes de l'ennui
Sans bruit il suit le film jusqu'au happy end ou l'asile
Où le fleuve des ombres aboutit et vomit ses âmes englouties
Le cœur souvent dans l'étui il maintient sa chair à l'abri
Le front rempli de plis et c'putain de crédit qui s'languit
La tête pleine de jour comme de nuit, peu de place pour l'répit
Il faudrait pas que sa route dévie et s'paume dans l'brandy
Héroique à chaque acte une flamme d'espoir il brandit
À la face des costumes où se glissent les bandits
Chez lui l'mépris ça détruit pas, ça ragaillardit
Et de toute façon, y a la queue devant les portes de l'oubli
Juste un fantôme de plus parcourant le parvis
Doté d'la force des siens, guerrier de la survie
Un visage dans la foule flou mal défini
Un visage dans la foule comme tous un fait-dit
Regard transparent unique anémique on vit comme on peut
Vé, comme on peut donner c'qu'on veut
Même en étant personne nos cœurs sonnent marre des creux
Anonymes on le reste tels des lépreux
[Couplet 1 : Shurik'n]
Le jour dort encore mais lui se lève
Y a que les tours et les chats dehors mais lui s'lève
À chaque fois le même effort, jamais d'trève
À chaque fois le même décor, lentement il en crève
Enchaîné à sa chienne de vie, chaque morsure l'affaiblit
Dans un puit de soucis il croupit près des portes de l'ennui
Sans bruit il suit le film jusqu'au happy end ou l'asile
Où le fleuve des ombres aboutit et vomit ses âmes englouties
Le cœur souvent dans l'étui il maintient sa chair à l'abri
Le front rempli de plis et c'putain de crédit qui s'languit
La tête pleine de jour comme de nuit, peu de place pour l'répit
Il faudrait pas que sa route dévie et s'paume dans l'brandy
Héroique à chaque acte une flamme d'espoir il brandit
À la face des costumes où se glissent les bandits
Chez lui l'mépris ça détruit pas, ça ragaillardit
Et de toute façon, y a la queue devant les portes de l'oubli
Juste un fantôme de plus parcourant le parvis
Doté d'la force des siens, guerrier de la survie
Un visage dans la foule flou mal défini
Un visage dans la foule comme tous un fait-dit
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