[Couplet unique]
C'est la fin, de mes désirs d'adulte à mes rêves d'enfant
Comment être un homme on s'perd à faire semblant
J'comprends mon père et j'fais qu'lui ressembler
J'emmerde ta jeunesse dorée, j'suis d'celle qu'a plus de repère...
Défoncé, dépressif, névrosé
J'compte mon bénéfice avec des potos fauchés
Écorché j'ai bu du Hennessy jusqu'à plus savoir compter
J'connais pas l'Histoire, nan j'me dois de l'inventer
J'écris mon destin prêt pour le festin des Dieux
J'avais déjà un album et merde p't'être que j'en ferais deux
J'me dois de guérir, tous ces problèmes qui m'handicapent
La vie une feuille blanche : chaque pensée noire fait du remplissage
Et j'suis trop loin, à tester la mort
Ouais certes c'est hardcore tous les plans qu'j'élabore
Pour quitter l'navire sans m'noyer dans l'alcool
Addict à mon smartphone, j'réponds plus à ma daronne
Et j'le regretterais...
Le jour où elle va perdre la vie, les nerfs à vif
On calme la jeunesse à base d’ecstasy
On voulait l'haut d'l'affiche, on finira plus bas que terre
Goûte la zeb et roule un pers', en guise de thérapie
Moi j'combats les maux par les mots, le sang par mes sens si développés tu l'ressens quand j'crache le feu ça sent l'essence enfoiré
En soirée cherche pas l'amour ni l'amitié, tu me diras
J'ai trop de culpabilité pour habiter une villa
J'suis à un doigt d'te foutre une balle dans le crâne
Le doigt sur la gâchette, nan ne m'attends pas, je reste chez moi...
J'suis l'martyre comme j'suis l'attentat
J'ai le cœur dopé grâce à une femme et rongé par mes doutes et les coups d'blues j'ai souvent peur de l'œuvre du diable
Est-ce que ça se sent qu'j'fais le mal, que mes déprimes s'éternisent ?
Vin blanc, quai d'Jemmapes, j'vais pas m'envoler j'ai le vertige
J'reste avec 1spire et Sopico Sanka et Hakim
J'ai pas mangé d'la journée, un verre de Tropico un grec et j'arrive
On va refaire le monde en attendant de refaire les nôtres
J'suis différent, je le sais, et puis j'en perds mes mots
Pensées pour les mômes qui connaissent pas la crise, j'les envie
J'vois les banques américaines comme le paradis
Comme des larmes sur ton visage, la pluie sur les carreaux
Frappe à la vitesse des nuages il cache des sourires idiots
On attend qu'elle s'enfuie, souvent pour reprendre vie
Qu'elle courre d'autres pays détruise d'autres nids
Moi j'veux des mots, j'veux des rimes, des synonymes
J'connais déjà la pluie, elle est pas si terrible, arrh !
Qui peut dompter la bête ? c'est plus facile de dresser le maître
Même drogué au point d'plus contrôler tes faits et gestes
J'fais c'que j'dois faire et j'vais pas rendre des comptes
L'heure est au succès et tomber serait la pendaison
Peur de peu de choses, de peu de gens, les vrais savent que j'm'exclame
Quand j'tiens ma vérité, tes rappeurs ne sont qu'des esclaves
Des mecs qu'enchaînent des Air ball tout en se prenant pour Steph Curry
Sachez que c'est pas en écrivant qu'on fait des vraies tueries
C'est la fin, de mes désirs d'adulte à mes rêves d'enfant
Comment être un homme on s'perd à faire semblant
J'comprends mon père et j'fais qu'lui ressembler
J'emmerde ta jeunesse dorée, j'suis d'celle qu'a plus de repère...
Défoncé, dépressif, névrosé
J'compte mon bénéfice avec des potos fauchés
Écorché j'ai bu du Hennessy jusqu'à plus savoir compter
J'connais pas l'Histoire, nan j'me dois de l'inventer
J'écris mon destin prêt pour le festin des Dieux
J'avais déjà un album et merde p't'être que j'en ferais deux
J'me dois de guérir, tous ces problèmes qui m'handicapent
La vie une feuille blanche : chaque pensée noire fait du remplissage
Et j'suis trop loin, à tester la mort
Ouais certes c'est hardcore tous les plans qu'j'élabore
Pour quitter l'navire sans m'noyer dans l'alcool
Addict à mon smartphone, j'réponds plus à ma daronne
Et j'le regretterais...
Le jour où elle va perdre la vie, les nerfs à vif
On calme la jeunesse à base d’ecstasy
On voulait l'haut d'l'affiche, on finira plus bas que terre
Goûte la zeb et roule un pers', en guise de thérapie
Moi j'combats les maux par les mots, le sang par mes sens si développés tu l'ressens quand j'crache le feu ça sent l'essence enfoiré
En soirée cherche pas l'amour ni l'amitié, tu me diras
J'ai trop de culpabilité pour habiter une villa
J'suis à un doigt d'te foutre une balle dans le crâne
Le doigt sur la gâchette, nan ne m'attends pas, je reste chez moi...
J'suis l'martyre comme j'suis l'attentat
J'ai le cœur dopé grâce à une femme et rongé par mes doutes et les coups d'blues j'ai souvent peur de l'œuvre du diable
Est-ce que ça se sent qu'j'fais le mal, que mes déprimes s'éternisent ?
Vin blanc, quai d'Jemmapes, j'vais pas m'envoler j'ai le vertige
J'reste avec 1spire et Sopico Sanka et Hakim
J'ai pas mangé d'la journée, un verre de Tropico un grec et j'arrive
On va refaire le monde en attendant de refaire les nôtres
J'suis différent, je le sais, et puis j'en perds mes mots
Pensées pour les mômes qui connaissent pas la crise, j'les envie
J'vois les banques américaines comme le paradis
Comme des larmes sur ton visage, la pluie sur les carreaux
Frappe à la vitesse des nuages il cache des sourires idiots
On attend qu'elle s'enfuie, souvent pour reprendre vie
Qu'elle courre d'autres pays détruise d'autres nids
Moi j'veux des mots, j'veux des rimes, des synonymes
J'connais déjà la pluie, elle est pas si terrible, arrh !
Qui peut dompter la bête ? c'est plus facile de dresser le maître
Même drogué au point d'plus contrôler tes faits et gestes
J'fais c'que j'dois faire et j'vais pas rendre des comptes
L'heure est au succès et tomber serait la pendaison
Peur de peu de choses, de peu de gens, les vrais savent que j'm'exclame
Quand j'tiens ma vérité, tes rappeurs ne sont qu'des esclaves
Des mecs qu'enchaînent des Air ball tout en se prenant pour Steph Curry
Sachez que c'est pas en écrivant qu'on fait des vraies tueries
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