[Intro]
Oh putain, sur la vie d’ma reum
Comment j’ai mal à la tête, j’étais encore défoncé hier soir
[Couplet 1 : Salif]
Encore une cuite à mon actif, là c’est plus Salif mais Fon l’artiste
L’enculé c’lui qu’les connards kiffent
Ils aiment tous mon mode de vie celui qu’les mômes devinent
À base de whisky et d’blocs de hiy'
J’crois que les gens débloquent depuis qu’le rap explose
J’suis pas surhumain, c’que j’fais : je gratte et j’pose
Et les putes aimeraient savoir comment j’bande
Comment j’change de personnalité, mais j’n’ai pas demandé qu’on m'encense
Et certains voudraient savoir comment j’me torche aux toilettes
J’suis partisan du "je m’en foutisme" et sur ce morceau j’dois l’être
Ouais "j’emmerde le monde" c’est mon slogan sauf quand
C’est Salif qui prend l’contrôle, direction les faux plans
Faut qu’j’bosse, faut qu’j’bosse allez, le travail et pas d’vacances
Et quand c’est Fon au mic, c’est l’discours d’une racaille extravagante
À cause de l’encre de mon stylo, j’crois qu’j’suis entre deux mondes
Entre deux monstres qui tentent de me mordre
Et ouais mes textes sentent le morbide, c’est souvent très sordide
Si t’es pris de spasmes ou de tout autre effet, sors vite
Car là t’es dans mon monde
Et y’a plus rien qui compte à part ce texte que j’écris défoncé
Oh putain, sur la vie d’ma reum
Comment j’ai mal à la tête, j’étais encore défoncé hier soir
[Couplet 1 : Salif]
Encore une cuite à mon actif, là c’est plus Salif mais Fon l’artiste
L’enculé c’lui qu’les connards kiffent
Ils aiment tous mon mode de vie celui qu’les mômes devinent
À base de whisky et d’blocs de hiy'
J’crois que les gens débloquent depuis qu’le rap explose
J’suis pas surhumain, c’que j’fais : je gratte et j’pose
Et les putes aimeraient savoir comment j’bande
Comment j’change de personnalité, mais j’n’ai pas demandé qu’on m'encense
Et certains voudraient savoir comment j’me torche aux toilettes
J’suis partisan du "je m’en foutisme" et sur ce morceau j’dois l’être
Ouais "j’emmerde le monde" c’est mon slogan sauf quand
C’est Salif qui prend l’contrôle, direction les faux plans
Faut qu’j’bosse, faut qu’j’bosse allez, le travail et pas d’vacances
Et quand c’est Fon au mic, c’est l’discours d’une racaille extravagante
À cause de l’encre de mon stylo, j’crois qu’j’suis entre deux mondes
Entre deux monstres qui tentent de me mordre
Et ouais mes textes sentent le morbide, c’est souvent très sordide
Si t’es pris de spasmes ou de tout autre effet, sors vite
Car là t’es dans mon monde
Et y’a plus rien qui compte à part ce texte que j’écris défoncé
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