[Couplet 1 : Shurik’n]
Parfois, j'me sens comme un cactus dans un champ de roses
Une bombe qui jamais n'explose Mic', track, prose, manquait plus qu'une juste cause
Ouais, parfois ça tient à rien, la vie, j'ai capté ça tôt
Soit tu goûtes au meilleur miel, soit la coupe de saké
Je jette une part de moi dans mes cahiers, Le reste orne ma peau
J'te vois sourire, mais non, j'te parle pas des shlass dans mon dos
J'viens d'un coin où les poings parlaient bien plus que les palais
Où le népalais calmaient tout l'monde, là étalé, jusqu'au matin
Ne crois pas que j'suis né avec tout, même si je manquais de rien
On sait bien qu'il y a toujours moyen, tu connais les jeunes chiens
Hard life, c'était l'école, fallait respecter les codes
Jamais balancer les potes ou ça devenait physical
C'est mon background mais j't'en livre qu'une partie infime
Rap warrior, texte écrit à l'encre de mes trippes
Et parfois l'être humain s'éclipse et je ne peux plus rien y faire
Bruce Banner style, voit d'la survie par la colère
Mental en acier Valyrien, maintenant j'le sais, fallait bien 2 ans pour faire un deuil
Merde, tu sais pas ce que je contiens
Je libères mon cœur un peu chaque soir sur scène
La sueur maquille mes larmes et le temps d'un concert, la joie remplace la peine
Parfois, j'me sens comme un cactus dans un champ de roses
Une bombe qui jamais n'explose Mic', track, prose, manquait plus qu'une juste cause
Ouais, parfois ça tient à rien, la vie, j'ai capté ça tôt
Soit tu goûtes au meilleur miel, soit la coupe de saké
Je jette une part de moi dans mes cahiers, Le reste orne ma peau
J'te vois sourire, mais non, j'te parle pas des shlass dans mon dos
J'viens d'un coin où les poings parlaient bien plus que les palais
Où le népalais calmaient tout l'monde, là étalé, jusqu'au matin
Ne crois pas que j'suis né avec tout, même si je manquais de rien
On sait bien qu'il y a toujours moyen, tu connais les jeunes chiens
Hard life, c'était l'école, fallait respecter les codes
Jamais balancer les potes ou ça devenait physical
C'est mon background mais j't'en livre qu'une partie infime
Rap warrior, texte écrit à l'encre de mes trippes
Et parfois l'être humain s'éclipse et je ne peux plus rien y faire
Bruce Banner style, voit d'la survie par la colère
Mental en acier Valyrien, maintenant j'le sais, fallait bien 2 ans pour faire un deuil
Merde, tu sais pas ce que je contiens
Je libères mon cœur un peu chaque soir sur scène
La sueur maquille mes larmes et le temps d'un concert, la joie remplace la peine
Comments (0)
The minimum comment length is 50 characters.