[Refrain]
Ils ne savent pas
Ils ne savent pas (they don't know), tout ce que l'on a dû faire et ce que l'on a supporté
Non, ils ne savent pas (they don't know), comment pourraient-ils nous diriger ?
Ils ne savent pas (they don't know), tout ce que l'on a dû faire et ce que l'on a sacrifié
Non, ils ne savent pas (they don't know), mais ils se permettent de nous juger (they really don't know)
Ils ne savent pas
[Couplet : Shurik'n]
On ne se prend pas la tête, on nous la prend déjà
On nous sonde, on nous analyse comme des rats de laboratoire
Ils pensent avoir compris mais ils vivent bien trop haut
Comme si l'oiseau pouvait se sentir comme un poisson dans l'eau
Elevés aux repas faits de restes, au sandwich pain banane
A peine le 15 du mois, déjà le frigo en stress
Parfois en vacances, souvent pas de thunes
Parfois on travaille, mais, souvent il y en a plus
Bien sûr on fait la fête, on danse même à Noël
On ne rate jamais l'occase de se rappeler que la vie est belle
Et pourtant on voit nos mères suer pour un caddy plein
S'user les reins chaque jour pour le gîte et le pain
Tellement de chutes et de faux départs, levés tôt, couchés tard
Un taf dur à gérer, l'huissier toujours aux abois
Au bout du compte y en a qui sourient et d'autres se noient
C'est ce qui arrive quand on encaisse plus qu'on ne peut recevoir
Ils ne savent pas
Ils ne savent pas (they don't know), tout ce que l'on a dû faire et ce que l'on a supporté
Non, ils ne savent pas (they don't know), comment pourraient-ils nous diriger ?
Ils ne savent pas (they don't know), tout ce que l'on a dû faire et ce que l'on a sacrifié
Non, ils ne savent pas (they don't know), mais ils se permettent de nous juger (they really don't know)
Ils ne savent pas
[Couplet : Shurik'n]
On ne se prend pas la tête, on nous la prend déjà
On nous sonde, on nous analyse comme des rats de laboratoire
Ils pensent avoir compris mais ils vivent bien trop haut
Comme si l'oiseau pouvait se sentir comme un poisson dans l'eau
Elevés aux repas faits de restes, au sandwich pain banane
A peine le 15 du mois, déjà le frigo en stress
Parfois en vacances, souvent pas de thunes
Parfois on travaille, mais, souvent il y en a plus
Bien sûr on fait la fête, on danse même à Noël
On ne rate jamais l'occase de se rappeler que la vie est belle
Et pourtant on voit nos mères suer pour un caddy plein
S'user les reins chaque jour pour le gîte et le pain
Tellement de chutes et de faux départs, levés tôt, couchés tard
Un taf dur à gérer, l'huissier toujours aux abois
Au bout du compte y en a qui sourient et d'autres se noient
C'est ce qui arrive quand on encaisse plus qu'on ne peut recevoir
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