Parfois, je suis triste de voir ce qu'on a fait
De l'être humain
Un besogneux qui est enfermé toute l'année
Et qui, et qui, de temps en temps
Ben, va glisser sur la neige, ou va bronzer sur la plage
Pour compenser l'aliénation qu'il subit toute l'année
Bah, c'est, c'est carrément de l'esclavage
On peut pas raconter qu'on est, qu'on est libres
On est libres de quoi?
J'étais еncore qu'un petit rat
J'avais déjà le postеr de l'IRA
Une philosophie bien marquée
Tranquille, tolérant comme Cornelius et Zira
Rencontrant l'inconnu insolite
Au contact de la mort, mon sang est devenu un solide
J'vomis tout c'béton dans l'estomac à longueur de rimes
C'est un malaise tenace, mon stylo, mon estocade
L'intérieur du crâne camouflage, médecine en bout d'page
Certains s'prennent pour des tombes
Ils s'révèlent être les rois d'la poucave
Ils font semblant mais tous savent
La vérité sépare le bon du pourave
Entravés dans un mini enfer
Où ça parle que d'shit, de cartes, d'argent et de fer
On devient tous des coupables
Même si on clame que non, c'est futile
On a tous vu le regard qui disait "pourquoi" dans les yeux des victimes
Pour ces barrières qu'on piétine
Les teams de bleus entrent en scène et franchement
Le jeu n'en vaut pas la chandelle
J'étais môme et les mamas venaient aux fêtes avec des 100 carats
Quand leurs maris étaient partis chercher la base à Ankara
Les comptes secrets dans les banques arabes, les coups d'filet
Les RDC, les guet-apens, les braquages, les darons en cavale
J'ai pas choisi, malheureusement
Mais ça m'a empêché au moins d'vivre ma vie dangereusement
Je reste qui j'suis, un mec droit et honnête
Un poète écrivant ses versets
De l'être humain
Un besogneux qui est enfermé toute l'année
Et qui, et qui, de temps en temps
Ben, va glisser sur la neige, ou va bronzer sur la plage
Pour compenser l'aliénation qu'il subit toute l'année
Bah, c'est, c'est carrément de l'esclavage
On peut pas raconter qu'on est, qu'on est libres
On est libres de quoi?
J'étais еncore qu'un petit rat
J'avais déjà le postеr de l'IRA
Une philosophie bien marquée
Tranquille, tolérant comme Cornelius et Zira
Rencontrant l'inconnu insolite
Au contact de la mort, mon sang est devenu un solide
J'vomis tout c'béton dans l'estomac à longueur de rimes
C'est un malaise tenace, mon stylo, mon estocade
L'intérieur du crâne camouflage, médecine en bout d'page
Certains s'prennent pour des tombes
Ils s'révèlent être les rois d'la poucave
Ils font semblant mais tous savent
La vérité sépare le bon du pourave
Entravés dans un mini enfer
Où ça parle que d'shit, de cartes, d'argent et de fer
On devient tous des coupables
Même si on clame que non, c'est futile
On a tous vu le regard qui disait "pourquoi" dans les yeux des victimes
Pour ces barrières qu'on piétine
Les teams de bleus entrent en scène et franchement
Le jeu n'en vaut pas la chandelle
J'étais môme et les mamas venaient aux fêtes avec des 100 carats
Quand leurs maris étaient partis chercher la base à Ankara
Les comptes secrets dans les banques arabes, les coups d'filet
Les RDC, les guet-apens, les braquages, les darons en cavale
J'ai pas choisi, malheureusement
Mais ça m'a empêché au moins d'vivre ma vie dangereusement
Je reste qui j'suis, un mec droit et honnête
Un poète écrivant ses versets
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