[Sample tiré de "Seul contre tous" de Gaspar Noé]
Finalement, c'est pas grand-chose la mort. On en fait tout un plat
A la tienne!
Les dilemmes s'posent rarement, la nuit l'ami:
Mes erreurs s'font des pensées, puis s'font défonçer
Et j' clean les taches pour celui qui passait
J' noie des erreurs dans mes verre gros
On s'veut désiré ...pfffff....une merde de trop
L'ambiance fait s'feutré c'texte
Entre mensonge et maniement
On s'ronge évidement mais reste
Des petit cadavres que j'l' leste
Faut que j'les coule au fond d'mon cerveau
C'con m'test... merde!
J'l'ai mal découpé l'salaud!
Son corps pue dans mon conscient sans bédo
J'l'ai trouvé sale seul
Dans mon lobe frontal sale
Au réveil
Un corps qui remonte pendant la nuit quand j'm'éveille
Toujours la même et l'début des ennuis qui s'amène
Faut dire qu' j'en sème, des macabés qui m’gênent
Dans ma tète c'est mal agencé ou j'en sais rien
Mais j'ai du mal à danser
Des erreurs que j’dissous comme une histoire a six sous
Occulter les soucis quand j’traine assis sous
Mon tas d’ordure a ficeler
Pas difficile de les tuer mais ces corps m’encombrent
À se demander qui tu es les jours sombres
Dissimuler dans une grande fresque
Une garce ! décidément une farce cette « mémoire éparse »
C’est parce qu’les traces que j’laisse blessent
Lacéré par des lames oubliées
Une coupure d’âme
Sans son ni sang
Une souffle, fffff !!! Des innocents
Un chuchotement
Souviens toi de c’que t’as fait !
On est la somme de ses actes en effet
On épouse une morgue en somme
Des morts sans tombe errent
Qui me plombent et bombent j'm'enterre quand je tombe
Pas facile de vivre avec ces corps
Faut p'tet que j'fasse danser ces morts
Finalement, c'est pas grand-chose la mort. On en fait tout un plat
A la tienne!
Les dilemmes s'posent rarement, la nuit l'ami:
Mes erreurs s'font des pensées, puis s'font défonçer
Et j' clean les taches pour celui qui passait
J' noie des erreurs dans mes verre gros
On s'veut désiré ...pfffff....une merde de trop
L'ambiance fait s'feutré c'texte
Entre mensonge et maniement
On s'ronge évidement mais reste
Des petit cadavres que j'l' leste
Faut que j'les coule au fond d'mon cerveau
C'con m'test... merde!
J'l'ai mal découpé l'salaud!
Son corps pue dans mon conscient sans bédo
J'l'ai trouvé sale seul
Dans mon lobe frontal sale
Au réveil
Un corps qui remonte pendant la nuit quand j'm'éveille
Toujours la même et l'début des ennuis qui s'amène
Faut dire qu' j'en sème, des macabés qui m’gênent
Dans ma tète c'est mal agencé ou j'en sais rien
Mais j'ai du mal à danser
Des erreurs que j’dissous comme une histoire a six sous
Occulter les soucis quand j’traine assis sous
Mon tas d’ordure a ficeler
Pas difficile de les tuer mais ces corps m’encombrent
À se demander qui tu es les jours sombres
Dissimuler dans une grande fresque
Une garce ! décidément une farce cette « mémoire éparse »
C’est parce qu’les traces que j’laisse blessent
Lacéré par des lames oubliées
Une coupure d’âme
Sans son ni sang
Une souffle, fffff !!! Des innocents
Un chuchotement
Souviens toi de c’que t’as fait !
On est la somme de ses actes en effet
On épouse une morgue en somme
Des morts sans tombe errent
Qui me plombent et bombent j'm'enterre quand je tombe
Pas facile de vivre avec ces corps
Faut p'tet que j'fasse danser ces morts
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