![Reykjavik - Hubert-Félix Thiéfaine](/uploads/posts/2024-01/2296098.jpg)
Reykjavik Hubert-Félix Thiéfaine
"Reykjavik" by Hubert-Félix Thiéfaine, released in 1981, is a #Rock song that explores themes of existentialism, longing, and the search for identity. The lyrics evoke a sense of wanderlust and introspection, with a surreal and poetic style. Unique musical elements include rich instrumentation and Thiéfaine's emotive vocals, contributing to its lasting cultural resonance in French music.
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& c'est une autre longue nuit qui commence
Exilé dans l'odeur du couloir de ce vieil hôtel
Où les esprits anciens scellés aux murs de leur absence
Veillent sur les aiguillages des courant d'air intemporels
& me voilà jouant sous la pleine lune à Reykjavík
Dans une parade étrange d'allégorie sans voix
Les bars sont silencieux et les capteurs fantômes l'indiquеnt
Pas d'autre alternative pas d'autrе issue pas d'autre voie
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Les enfants joyeux passent avec des Sundae caramel
Parmi ces rues vitrines où nos reflets cachent un mirage
Où des spectres obsolètes revisités par Beau Brummell
Défilent dans un paraître inutile morne et sans visage
Les hauts talons des femmes résonnent dans ma tête
Les hauts-parleurs distillent des invitations pour une fête
Mais perdu dans ces rues bercées de noires complaintes
Je me vois enfermé dans l’œil glacé d'un labyrinthe
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Exilé dans l'odeur du couloir de ce vieil hôtel
Où les esprits anciens scellés aux murs de leur absence
Veillent sur les aiguillages des courant d'air intemporels
& me voilà jouant sous la pleine lune à Reykjavík
Dans une parade étrange d'allégorie sans voix
Les bars sont silencieux et les capteurs fantômes l'indiquеnt
Pas d'autre alternative pas d'autrе issue pas d'autre voie
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
Les enfants joyeux passent avec des Sundae caramel
Parmi ces rues vitrines où nos reflets cachent un mirage
Où des spectres obsolètes revisités par Beau Brummell
Défilent dans un paraître inutile morne et sans visage
Les hauts talons des femmes résonnent dans ma tête
Les hauts-parleurs distillent des invitations pour une fête
Mais perdu dans ces rues bercées de noires complaintes
Je me vois enfermé dans l’œil glacé d'un labyrinthe
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
& je suis là je me demande en regardant les heures
Si je dois bien attendre ici ou repartir ailleurs
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