Mojo - dépanneur tv (1948-2023) Hubert-Félix Thiéfaine
"Mojo - dépanneur tv (1948-2023)" by Hubert-Félix Thiéfaine is a #Rock song that explores themes of nostalgia, societal change, and personal reflection. The lyrics evoke a sense of longing for the past while critiquing modern life. Unique musical elements include poetic storytelling and a blend of rock and folk influences. Thiéfaine's work has significantly impacted French music culture, resonating with listeners for its depth and emotion. Released in 2023, it continues to reflect on the human experience amidst evolving times.
J'étais en train de regarder
Les Feux d'l'Amour à la télé
Quand mon poste a mangé son image
Me laissant lancinant sans message
Adieu starlettes et lacrymos
Blaireaux bellâtres et blêmes en tuxedo
Avant qu'ma vodka Seven Up
S'évapore va falloir j'm'en occup'
Allô, allô monsieur Mojo
Me laissez pas dans le noir
Avant la fin de l'histoire
En attendant l'homo-vidéo
J'me suis rallumé un vieux mégot
Et j'ai décollé comme un cheval
Fou-ailé dans le transcendantal
J'y ai découvert que notre père
Moloch avait changé de partenaires
Ce ne sont plus les gorgones habituelles
Qui nous surgèlent au fond de nos gamelles
Ce sont de nouvelles reines de Saba
Impudiques et salaces : les médias
Elles cachent leurs crânes sous leurs sourires
Tous les soirs à 20 heures pour nous séduire
Elles sont partout, elles sont nulle part
Elles sont aux arrivées, aux départs
Elles nous caressent, elles nous exultent
Comme des bébés thalidomide adultes
Les Feux d'l'Amour à la télé
Quand mon poste a mangé son image
Me laissant lancinant sans message
Adieu starlettes et lacrymos
Blaireaux bellâtres et blêmes en tuxedo
Avant qu'ma vodka Seven Up
S'évapore va falloir j'm'en occup'
Allô, allô monsieur Mojo
Me laissez pas dans le noir
Avant la fin de l'histoire
En attendant l'homo-vidéo
J'me suis rallumé un vieux mégot
Et j'ai décollé comme un cheval
Fou-ailé dans le transcendantal
J'y ai découvert que notre père
Moloch avait changé de partenaires
Ce ne sont plus les gorgones habituelles
Qui nous surgèlent au fond de nos gamelles
Ce sont de nouvelles reines de Saba
Impudiques et salaces : les médias
Elles cachent leurs crânes sous leurs sourires
Tous les soirs à 20 heures pour nous séduire
Elles sont partout, elles sont nulle part
Elles sont aux arrivées, aux départs
Elles nous caressent, elles nous exultent
Comme des bébés thalidomide adultes
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