[Couplet 1]
Foutez-moi la paix, foutez l'camp
Foutez-moi la paix, foutez l’camp
Foutez-moi la paix, foutez l'camp
J'veux être solo dans ma capsule
Loin des raclures qui sont là prêts à nous sucer l’sang
Dis-moi où sont tous tes gars sûrs?
Si c'est tes gars sûrs pourquoi c'est dans un bunker qu'tu te rassures?
À tellement donner ton temps, tellement donner dans l'vent
Tu t'isoles pour éviter les clash
Des ratures, encore des ratures
Difficile d'échapper à sa nature
Un bon reste un bon, un con reste un con et un faux reste un faux
Le cœur est la raison des premiers accrocs
A donner son cœur et son âme et sa peau
D'un commun accord entre le commun des communs, des communs, des connards, des communs, des cons
Combien d’entre nous sont emprisonnés?
On se critique, on se rit au nez
Qui comprend la nature de l’homme ne cherche qu'à le fuir et à s’isoler
Plus confiance en personne, personne
Je donne plus mon cœur à personne, personne
Mais je l'ai sur la main, tous ces fils de pute me le perforent, perforent
Alors on marche avec le sourire mais à l'intérieur on est vraiment du-per
Si tu me demande si ça va, que j'réponds non, sincèrement que vas-tu faire?
J’entends les démons parler dans leur barbe, voulant transpercer ma garde
Ils ont même blessé ma daronne, que la bête m'avale si je baisse mon arme
Foutez-moi la paix, foutez l'camp
Foutez-moi la paix, foutez l’camp
Foutez-moi la paix, foutez l'camp
J'veux être solo dans ma capsule
Loin des raclures qui sont là prêts à nous sucer l’sang
Dis-moi où sont tous tes gars sûrs?
Si c'est tes gars sûrs pourquoi c'est dans un bunker qu'tu te rassures?
À tellement donner ton temps, tellement donner dans l'vent
Tu t'isoles pour éviter les clash
Des ratures, encore des ratures
Difficile d'échapper à sa nature
Un bon reste un bon, un con reste un con et un faux reste un faux
Le cœur est la raison des premiers accrocs
A donner son cœur et son âme et sa peau
D'un commun accord entre le commun des communs, des communs, des connards, des communs, des cons
Combien d’entre nous sont emprisonnés?
On se critique, on se rit au nez
Qui comprend la nature de l’homme ne cherche qu'à le fuir et à s’isoler
Plus confiance en personne, personne
Je donne plus mon cœur à personne, personne
Mais je l'ai sur la main, tous ces fils de pute me le perforent, perforent
Alors on marche avec le sourire mais à l'intérieur on est vraiment du-per
Si tu me demande si ça va, que j'réponds non, sincèrement que vas-tu faire?
J’entends les démons parler dans leur barbe, voulant transpercer ma garde
Ils ont même blessé ma daronne, que la bête m'avale si je baisse mon arme
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