[Refrain]
Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués
J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués
A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait
Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leur sourire apparait
Je revois le mien en extase, au premier jouet téléguidé
Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé
Instant sacralisé, trésor de mon cœur jamais épuisé
Pour mon âme apaisante alizée
[Couplet 1 : Akhenaton]
Revoir le rayon d'lumière, transpercer les nuages, après la pluie
La chaleur étouffante assécher la tuile
Revoir encore une fois, l'croissant lunaire embraser la nuit
Embrasser mes anges, quand l'soleil s'noie d'faire du sommeil une terre vierge
Converser dehors sous les cierges
Revoir son sourire au lever quand j'émerge
Sur au-delà des turpitudes, des dures habitudes de l'hiver
Peut être mon enveloppe de môme, abrite un coeur d'Gulliver
Revoir les trésors naturels de l'univers, douce ballerine
L'hirondelle fonde son nid dans mes songes, sublime galerie
A ciel ouvert, les djouns rampent à couvert, nous à l'air libre
Mais les pierres horribles, cachent souvent des gemmes superbes
Sous le couvercle Revoir la terre s'ouvrir, dévoiler la mer
Solitaire dans la chambre, sous la lumière qu'les volets lacèrent
Impatient de l'attendre, c'printemps en décembre
En laissant ces mots dans les cendres
De ces années amères
Comme quoi la vie finalement nous a tous embarqués
J'en place une pour les bouts de choux, fraîchement débarqués
A croire que jusqu'à présent, en hiver on vivait
Vu qu'c'est le printemps, à chaque fois que leur sourire apparait
Je revois le mien en extase, au premier jouet téléguidé
Déguisé en cosmonaute, souhait presque réalisé
Instant sacralisé, trésor de mon cœur jamais épuisé
Pour mon âme apaisante alizée
[Couplet 1 : Akhenaton]
Revoir le rayon d'lumière, transpercer les nuages, après la pluie
La chaleur étouffante assécher la tuile
Revoir encore une fois, l'croissant lunaire embraser la nuit
Embrasser mes anges, quand l'soleil s'noie d'faire du sommeil une terre vierge
Converser dehors sous les cierges
Revoir son sourire au lever quand j'émerge
Sur au-delà des turpitudes, des dures habitudes de l'hiver
Peut être mon enveloppe de môme, abrite un coeur d'Gulliver
Revoir les trésors naturels de l'univers, douce ballerine
L'hirondelle fonde son nid dans mes songes, sublime galerie
A ciel ouvert, les djouns rampent à couvert, nous à l'air libre
Mais les pierres horribles, cachent souvent des gemmes superbes
Sous le couvercle Revoir la terre s'ouvrir, dévoiler la mer
Solitaire dans la chambre, sous la lumière qu'les volets lacèrent
Impatient de l'attendre, c'printemps en décembre
En laissant ces mots dans les cendres
De ces années amères
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