[Couplet 1 : Shurik’n]
C’est vrai ce ne sont que de simples mots, parfois insignifiants
Certains pourtant ont plus de valeurs que dix mille diamants
Beaucoup de gens auraient dû se méfier de leur tranchant
Nappés de vices ou de sens, tous s’élancent
Porteurs de nos mots, avec eux on gravit des monts
Dieu que ce monde est beau, même si en bas ça devient vraiment dément
Laisse-les nous guider à travers les âges et le temps
Briser nos cages, décollage, droit vers le firmament
Rien que des mots parmi les plus durs et les plus doux
Les plus sombres et les plus lourds, à faire pâlir les plus sourds
Une source d’images intarissable, autant de bonds allant vers d’autres paysages
À chaque page, un nouveau voyage
Et chacun d’eux contient une part de mon être
Un soupçon de larmes, quelques gouttes de mes joies, une pincée de mes peines
Ils te conteront mes oasis et mes contrées arides
Des rues en liesse et des rues grises où seule la mort défile
Ils filent où bon leur semble, le vent pour charriot
J’en vois blessés par les débris que ma vie a charriés
Parmi les plus rebelles certains se feront fusiller
Les plus sincères toucheront les cœurs et les esprits par milliers
C’est vrai ce ne sont que de simples mots, parfois insignifiants
Certains pourtant ont plus de valeurs que dix mille diamants
Beaucoup de gens auraient dû se méfier de leur tranchant
Nappés de vices ou de sens, tous s’élancent
Porteurs de nos mots, avec eux on gravit des monts
Dieu que ce monde est beau, même si en bas ça devient vraiment dément
Laisse-les nous guider à travers les âges et le temps
Briser nos cages, décollage, droit vers le firmament
Rien que des mots parmi les plus durs et les plus doux
Les plus sombres et les plus lourds, à faire pâlir les plus sourds
Une source d’images intarissable, autant de bonds allant vers d’autres paysages
À chaque page, un nouveau voyage
Et chacun d’eux contient une part de mon être
Un soupçon de larmes, quelques gouttes de mes joies, une pincée de mes peines
Ils te conteront mes oasis et mes contrées arides
Des rues en liesse et des rues grises où seule la mort défile
Ils filent où bon leur semble, le vent pour charriot
J’en vois blessés par les débris que ma vie a charriés
Parmi les plus rebelles certains se feront fusiller
Les plus sincères toucheront les cœurs et les esprits par milliers
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