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11.2 - Onze
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11.2 Onze

11.2 - Onze
[Paroles de "11.2"]

[Intro : tag]
AWA the mafia, my nigga

[Couplet 1 : Cendar]
Achète les skeuds ou va les streamer, on a trimé
J'écrivais des textes innés, on m'a peu estimé à faire c'qui m'était destiné
Ah, j'v'-esqui les cliquos, j'en ai marre d'leur indiquer l'rrain-te
À force, pour ça, si j'devais toucher ma com', j'ferais rentrer v'là la somme
Saint-Denis salutations, fais l'mal sans passion, fume un oint-j sans boisson, les vils-ci cosplayeurs demandent leur mutation
J'm'en bats les couilles d'ta cave remplie, j'm'en bats les couilles d'tes années d'ferme
Ta mère la pute des eighties, la mienne cuisine avec des cernes
Dehors, les rires sincères sont segmentés par les ges-gor de poison
À la baraque, on s'déchire, s'exprime en coups d'poing dans les cloisons
Dans l'lit d'mort, j'veux assez d'descendants pour plus voir les murs
Pour oublier qu'j'ai vécu toute ma vie confiné dans ma tête
J'aime pas quand on m'appelle, j'ai l'impression d'leur devoir au moins ça
J'donne des nouvelles comme j'donnerais du vent emballé dans un sac
Bellek, les faux frères font tomber leurs cœurs juste pour te voir te baisser
J'éteins la lumière et j'ferme les portes du coude parce que j'ai les mains pleines de pêchés
J'oublierai jamais l'manque de chaleur dans les mains d'mon père
J'pensais qu'on aurait l'temps d's'aimer, le temps d'éteindre mon teh
Pour qu'on reste en bon terme, c'est mieux qu'on s'croise que l'vendredi
Qu'on parle pas d'argent l'ventre vide, qu'on parle pas d'argent tout court
Et m'en sortir, j'fais pas tout pour, malgré mes deux bras, mes deux jambes
J'suis entouré d'gens qui t'poussent une clope, un Caprisun et qui t'en r'parlent 102 ans
Mon reuf, confonds pas poignée d'mains et poignée d'porte
Confonds pas mentir et préserver, argumenter, s'énerver
J'te laisse deviner l'mal que j'ai à dire "je t'aime" sachant qu'dans ma vie, j'ai d'jà mis deux mois à changer une ampoule
J'étais mauvais en tout, j'suis bon qu'à mettre la tise en pot
J'redoute plein d'choses, un euro dans ma poche, c'est mille remises en cause
Apprécier l'bon moment, j'peux pas, j'anticipe trop la suite
Ouais, tu connais, après l'fou rire, y a "nique sa mère là-c'ui"
J'connais des mecs qu'ont rien à perdre, qui connaissent pas leurs gosses
Qui montrent pas leurs mains sales en chantant, qu'ont des baveux qui savent qu'on dit plus "ziva"' depuis trente ans
J'écoute pas l'mal, je l'entends, j'prenais des baffes de chef d'orchestre en sortant du dépôt
J'baissais la tête en mentant, j'rentrais chez oi-m en rampant
En repensant qu'avec ma fermeture, j'leur ai refait la déco'
J'reconnais n'importe quel chant d'oiseau quand la jungle dort
Et j'connais l'édenté au coin d'la rue qu'a la nnaie-mo sur un lingot d'or
J'ai pris perpette dans mon corps, j'déplace mon lit pour me faire croire qu'le monde a changé
J'cache le miroir sinon, j'vais m'venger
Du mal à sourire à part quand j'prononce le "i" de "nique sa mère", quand j'sors en début d'soirée
Mehlich toujours de l'espoir, comme après l'bol de déguê
Comme celle qui l'a préparé, comme mon binôme, c'pas la vie qui va nous séparer
Tu veux pas faire d'argent facile, c'est qu't'as pas vu ses hanches
Moi, j'aime pas l'goût d'mes regrets, j'veux sucrer l'océan
Le regard froid comme HAL 9000, j'fais du rap parce que, vas-y, j'sais as-p
Pourvu qu'la BAC me lâche la grappe
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