[Couplet 1: Caballero]
Yo, bienvenue dans l'nord sous spliff
C'est comme chez toi
On aime voir les porcs souffrir et les portes s'ouvrir
Il nous faut de l'or pour vivre, comme chez toi
Dès que t'en as, les haïsseurs te veulent mort ou vif
J'ai oublié de te dire
Là je traverse la ville et toute ses ruelles
En courant, car souvent l'homme est cruel
J't'explique, ils sont 15
Parano, j'ai cru voir un flingue
Les jaloux n'aiment pas qu'on fasse du peura fabuleux
Ils allaient m'attraper, il s'en est fallu de peu
Ça va j'suis en vie, j't'ai dis ils envient nos femmes pulpeuses, nos flammes pull bleu
Méfie toi, on peut t'baiser comme une salope de l'est
Rentre chez toi en un morceau avant que l'aube se lève
[Couplet 2: Nem]
Dehors, la pluie tombe, une putain d'nuit sombre
Laisse moi fuir c'monde
Bloqué, j'sais pas quoi faire, j'remonte un puit d'songe
C'est la même chaque fois, j'peine, contrôle plus c'paramètre
Dormir, c'est grave, j'galère, l'horloge en puis d'fond
Rythme impossible à fuir, infiniment
Un être insignifiant que le ciel inspire vivement
Les étoiles m'intriguent, mes sens se déploient
Mais j'me sens à l'étroit
Dans cette chambre infime
Et le temps file trop, j'bad, j'lui rend un petit hommage
En grattant c'texte, ouais moi j'respire comme ça
J'écris des drôles de vers sans parenthèses
J'ai d'quoi remplir d'autres pages avant que l'aube se lève
Yo, bienvenue dans l'nord sous spliff
C'est comme chez toi
On aime voir les porcs souffrir et les portes s'ouvrir
Il nous faut de l'or pour vivre, comme chez toi
Dès que t'en as, les haïsseurs te veulent mort ou vif
J'ai oublié de te dire
Là je traverse la ville et toute ses ruelles
En courant, car souvent l'homme est cruel
J't'explique, ils sont 15
Parano, j'ai cru voir un flingue
Les jaloux n'aiment pas qu'on fasse du peura fabuleux
Ils allaient m'attraper, il s'en est fallu de peu
Ça va j'suis en vie, j't'ai dis ils envient nos femmes pulpeuses, nos flammes pull bleu
Méfie toi, on peut t'baiser comme une salope de l'est
Rentre chez toi en un morceau avant que l'aube se lève
[Couplet 2: Nem]
Dehors, la pluie tombe, une putain d'nuit sombre
Laisse moi fuir c'monde
Bloqué, j'sais pas quoi faire, j'remonte un puit d'songe
C'est la même chaque fois, j'peine, contrôle plus c'paramètre
Dormir, c'est grave, j'galère, l'horloge en puis d'fond
Rythme impossible à fuir, infiniment
Un être insignifiant que le ciel inspire vivement
Les étoiles m'intriguent, mes sens se déploient
Mais j'me sens à l'étroit
Dans cette chambre infime
Et le temps file trop, j'bad, j'lui rend un petit hommage
En grattant c'texte, ouais moi j'respire comme ça
J'écris des drôles de vers sans parenthèses
J'ai d'quoi remplir d'autres pages avant que l'aube se lève
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