Le chagrin a fait son lit entre les plis de mon sourire
Et tracé comme un sillon de désespoir, là sur mon front
Mon passé est un vieillard dont la voix n'a plus rien à dire
Car le temps creuse entre nous un abîme sans fond
Afin que jamais plus je ne vois la lumière
Et la face des gens avec leur compassion
Que la mer déchaînée se jette sur la terre
Que se meure la vie, que s'éteigne le jour
Mon amour est parti avec un autre amour
Que le feu de l'enfer comme fétu de paille
Enflamme avec fureur les civilisations
Que la terre s'entrouve et que dans ses entrailles
Naisse un immense oubli qui durerait toujours
Et tracé comme un sillon de désespoir, là sur mon front
Mon passé est un vieillard dont la voix n'a plus rien à dire
Car le temps creuse entre nous un abîme sans fond
Afin que jamais plus je ne vois la lumière
Et la face des gens avec leur compassion
Que la mer déchaînée se jette sur la terre
Que se meure la vie, que s'éteigne le jour
Mon amour est parti avec un autre amour
Que le feu de l'enfer comme fétu de paille
Enflamme avec fureur les civilisations
Que la terre s'entrouve et que dans ses entrailles
Naisse un immense oubli qui durerait toujours
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