[Couplet 1 : L'Hexaler]
Le vent souffle sur le temps et l'automne balaie l'été
Chaque jour levant je bâtis le bonhomme que je n'ai été
Dans la cour des grands résonne la nouvelle année scolaire
On s'étudie nous-mêmes on n'connaît jamais assez ce qu'on est
Un salut à leurs âmes, à tous ces défunts qui meurent
Et j'serai si seul pour fêter la Toussaint ce vingt-et-un du neuf
Personne ne trompe la tumeur, tu paieras le prix du leurre
L'histoire confuse de celui qui l'a conçu et qui tue l’œuf
L'amour rend aveugle mais toute la meute se porte l’œil
Je réanime les feuilles mortes je n'écris pas ce que les autres veulent
Le peuple souffre trop, le désespoir et l'agonie
Qui se maquillent tous les matins comme les soirs d'Halloween
Les degrés chutent et tout prend l'allure de la brume
De fil en aiguille je prête ma plume aux plus dévêtus
Voué au naturel et je vous laisse le vécu d'la rue
Je voudrais pas saturer donc mes couplets écoutent les adultes
Et j'me sens riche sans être fortuné
Comme de renaître dans une chambre mortuaire
Le mois d'septembre ne m'inspire que des décors funèbres
Les infarctus, les enterrements, et la blessure fut nette
Toi tu rêves d'autres choses et je n'en fais pas moins
Le treize octobre me rappelle que je n'ai rien d'un parrain
Bientôt la fin de l'année, le froid qui froisse la neige
Au rythme des saisons je gère ma vie à Liège
Le vent souffle sur le temps et l'automne balaie l'été
Chaque jour levant je bâtis le bonhomme que je n'ai été
Dans la cour des grands résonne la nouvelle année scolaire
On s'étudie nous-mêmes on n'connaît jamais assez ce qu'on est
Un salut à leurs âmes, à tous ces défunts qui meurent
Et j'serai si seul pour fêter la Toussaint ce vingt-et-un du neuf
Personne ne trompe la tumeur, tu paieras le prix du leurre
L'histoire confuse de celui qui l'a conçu et qui tue l’œuf
L'amour rend aveugle mais toute la meute se porte l’œil
Je réanime les feuilles mortes je n'écris pas ce que les autres veulent
Le peuple souffre trop, le désespoir et l'agonie
Qui se maquillent tous les matins comme les soirs d'Halloween
Les degrés chutent et tout prend l'allure de la brume
De fil en aiguille je prête ma plume aux plus dévêtus
Voué au naturel et je vous laisse le vécu d'la rue
Je voudrais pas saturer donc mes couplets écoutent les adultes
Et j'me sens riche sans être fortuné
Comme de renaître dans une chambre mortuaire
Le mois d'septembre ne m'inspire que des décors funèbres
Les infarctus, les enterrements, et la blessure fut nette
Toi tu rêves d'autres choses et je n'en fais pas moins
Le treize octobre me rappelle que je n'ai rien d'un parrain
Bientôt la fin de l'année, le froid qui froisse la neige
Au rythme des saisons je gère ma vie à Liège
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