Les yeux qui brillent, la conscience qui s'éteint, cerveau troué comme ma paire de Vans
Seul au milieu du passage piéton, la faucheuse me fait des appels de phares
Le calme intérieur, la belle farce
Change tout c'que j'ai sous la chair en pierre
Change la tisane de mon verre en bière
Envie d'envoyer chiеr la Terre entièrе
La vie est une imparfaite perfection, chaque jour je subis de nouvelles pressions
Le futur s'arrangera comme Urian, je disparais des caméras d'surveillance
Dehors les miens sont traités comme des chiens mais monsieur policier nous respecte pas
La nuit, possédé comme un comédien, je m'endors à l'heure où les spectres partent
Torturé, quand les pensées claquent la porte du réel
Petit, c'était dur d'être torturé, c'est encore dur et ça va encore durer
En silence, je presse le pas, tant de galères pour un si vieux parcours
Mais les coïncidences n'existent pas, chaque seconde, je vois des signes partout
Et puis y'a cette femme, envie de lui dire : "Grâce à nos baises, j'apprécie mieux chaque jour"
Peur qu'elle s'efface, envie de lui dire, un soir avec des petits yeux d'amour
Même en été, j'ai peu chaud sans toi, tout allait mieux quand on roulait sur ma Peugeot 103
Rappelle-toi avant l'orage, quand la ville était calme
Tes mains autour de moi, à deux sur ma bécane, on était déjà les rois
Dès le départ, sans freins
Rappelle-toi avant l'orage, quand la ville était calme
Tes mains autour de moi, à deux sur ma bécane, on était déjà les rois
Dès le départ
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Seul au milieu du passage piéton, la faucheuse me fait des appels de phares
Le calme intérieur, la belle farce
Change tout c'que j'ai sous la chair en pierre
Change la tisane de mon verre en bière
Envie d'envoyer chiеr la Terre entièrе
La vie est une imparfaite perfection, chaque jour je subis de nouvelles pressions
Le futur s'arrangera comme Urian, je disparais des caméras d'surveillance
Dehors les miens sont traités comme des chiens mais monsieur policier nous respecte pas
La nuit, possédé comme un comédien, je m'endors à l'heure où les spectres partent
Torturé, quand les pensées claquent la porte du réel
Petit, c'était dur d'être torturé, c'est encore dur et ça va encore durer
En silence, je presse le pas, tant de galères pour un si vieux parcours
Mais les coïncidences n'existent pas, chaque seconde, je vois des signes partout
Et puis y'a cette femme, envie de lui dire : "Grâce à nos baises, j'apprécie mieux chaque jour"
Peur qu'elle s'efface, envie de lui dire, un soir avec des petits yeux d'amour
Même en été, j'ai peu chaud sans toi, tout allait mieux quand on roulait sur ma Peugeot 103
Rappelle-toi avant l'orage, quand la ville était calme
Tes mains autour de moi, à deux sur ma bécane, on était déjà les rois
Dès le départ, sans freins
Rappelle-toi avant l'orage, quand la ville était calme
Tes mains autour de moi, à deux sur ma bécane, on était déjà les rois
Dès le départ
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
Bébé, serre-moi fort, bébé, serre-moi fort
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