[Couplet 1]
Introverti, suicidaire, réfléchi et solitaire, je narre un cœur austère
Où seules la peine et la rancœur le lui ont été solidaires
En effet, inhibé par nature on m’a dit immature
Mais dans les faits, c’est l’émotion et les mots qui saturent
Ma vie a des ratures, enrayé puis rayé par l’échec d’une relation
Mais j’reste allié à la droiture sans délégation
Aliéné par la passion, j’évolue sans compassion
Envers mon armature, moi, mes joies et mes lois
Donc les mois laissent en émoi toutes ces blessures non révolues
Rien n’est résolu, j’reste isolé dans la césure
Comme à ces heures où l’affection demeure mon mausolée
Dans sa camisole la réflexion m’a désolé
J’ai vu l’amour comme une fiction malgré mes convictions
Au gré de ma diction, je dévoile mes sentiments
J’enlève le voile intimement avant de voir la mort m’étreindre
Prendre les devants sans craindre le moindre remords
Frise l’inconcevable, car ma crise est stable
Établie et fiable dans l’âme, elle est comme un mal recevable
Attitude anormale, grise et incomprise
Quand une brise de lassitude sur une braise de solitude
Attise la flamme de l’habitude si loin de la béatitude
[Refrain x2]
Le faciès fermé, j’reste enfermé dans mes peines
Les yeux cernés, gouverné par tant d’amour et de haine
La voix est une vertu quand la vie nous pervertit
Donc pour elle je m’évertue car je reste introverti
Introverti, suicidaire, réfléchi et solitaire, je narre un cœur austère
Où seules la peine et la rancœur le lui ont été solidaires
En effet, inhibé par nature on m’a dit immature
Mais dans les faits, c’est l’émotion et les mots qui saturent
Ma vie a des ratures, enrayé puis rayé par l’échec d’une relation
Mais j’reste allié à la droiture sans délégation
Aliéné par la passion, j’évolue sans compassion
Envers mon armature, moi, mes joies et mes lois
Donc les mois laissent en émoi toutes ces blessures non révolues
Rien n’est résolu, j’reste isolé dans la césure
Comme à ces heures où l’affection demeure mon mausolée
Dans sa camisole la réflexion m’a désolé
J’ai vu l’amour comme une fiction malgré mes convictions
Au gré de ma diction, je dévoile mes sentiments
J’enlève le voile intimement avant de voir la mort m’étreindre
Prendre les devants sans craindre le moindre remords
Frise l’inconcevable, car ma crise est stable
Établie et fiable dans l’âme, elle est comme un mal recevable
Attitude anormale, grise et incomprise
Quand une brise de lassitude sur une braise de solitude
Attise la flamme de l’habitude si loin de la béatitude
[Refrain x2]
Le faciès fermé, j’reste enfermé dans mes peines
Les yeux cernés, gouverné par tant d’amour et de haine
La voix est une vertu quand la vie nous pervertit
Donc pour elle je m’évertue car je reste introverti
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