[Paroles de "Joy Division"]
[Intro]
Un moment, tu t'imagines en haut, puis tu redescends
J'pensais être en feu, j'ai vu que des cendres
J'ai pas eu l'choix que d'me construire sur mes échecs
C'est pas être connu qui m'fera réaliser mes rêves
Et moi qui pensais que les années étaient bonnes qu'à faire sécher l'sang
À empirer les regrets, qu'pour avancer j'avais pas assez d'essence
Finalement, elles m'ont appris, à dire "Pardon", à dire "Tu m'manques"
Les relations avec ma mère changèrent au fil du temps
[Couplet 1]
Quand tu communiques mal, y'a des problèmes de couple, des mariages qui crament et puis des corps qui brûlent
Moi dans tout c'vacarme ouais il fallait qu'j'm'écoute, j'ai vu la panique des corps qui hurlent
Des masques qui tombent, des hommes et des femmes qui se tuent à la tâche
Autodestruction, brûler un livre, c'est bien plus facile que de tourner la page
Accepter mes parents séparés, non j'ai jamais su l'faire, et aujourd'hui j'en souffre encore
Violent dans mes réactions, faire passer mes idées m'paraît tout l'temps mort
Alors j'me tue aussi, des journées sans sortir de chez moi, dehors j'trouve l'air horrible
Ma ville a des allures de Tchernobyl, l'haleine pas fraîche, les yeux gonflés, des cernes aussi
[Pré-refrain]
À la fin d'tous mes voyages, au bout d'chaque histoire
Au détour d'un rire, d'un mot dans une langue étrangère
Y'a toujours comme, comme une mort
Et c'est sans doute pour ça qu'j'suis constamment en mouvement
Ouais, ça doit être ça
[Intro]
Un moment, tu t'imagines en haut, puis tu redescends
J'pensais être en feu, j'ai vu que des cendres
J'ai pas eu l'choix que d'me construire sur mes échecs
C'est pas être connu qui m'fera réaliser mes rêves
Et moi qui pensais que les années étaient bonnes qu'à faire sécher l'sang
À empirer les regrets, qu'pour avancer j'avais pas assez d'essence
Finalement, elles m'ont appris, à dire "Pardon", à dire "Tu m'manques"
Les relations avec ma mère changèrent au fil du temps
[Couplet 1]
Quand tu communiques mal, y'a des problèmes de couple, des mariages qui crament et puis des corps qui brûlent
Moi dans tout c'vacarme ouais il fallait qu'j'm'écoute, j'ai vu la panique des corps qui hurlent
Des masques qui tombent, des hommes et des femmes qui se tuent à la tâche
Autodestruction, brûler un livre, c'est bien plus facile que de tourner la page
Accepter mes parents séparés, non j'ai jamais su l'faire, et aujourd'hui j'en souffre encore
Violent dans mes réactions, faire passer mes idées m'paraît tout l'temps mort
Alors j'me tue aussi, des journées sans sortir de chez moi, dehors j'trouve l'air horrible
Ma ville a des allures de Tchernobyl, l'haleine pas fraîche, les yeux gonflés, des cernes aussi
[Pré-refrain]
À la fin d'tous mes voyages, au bout d'chaque histoire
Au détour d'un rire, d'un mot dans une langue étrangère
Y'a toujours comme, comme une mort
Et c'est sans doute pour ça qu'j'suis constamment en mouvement
Ouais, ça doit être ça
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