[Intro]
Monsieur ...
Ouais ?
Parloir, première série
Ouais ok, d'accord...
[Couplet 1 : Mac Tyer]
Matinal parce que c'est mon premier jour de parloir
Les bouchons du matin ne les mettrons pas en retard
J'ai cette grosse peine à purger en récidive
Me voilà solitaire dans la froideur d'une cellule vide
Deux jours plus tôt, entendu par la police
Ils veulent écouter mes voix sur des écoutes téléphoniques
Empruntes, brolic, placard à vie
Maintenant la brique nous sépare, rongé par des larmes acides
Oui j'évite les assises, pourtant mes lèvres sont scellées
Ta justice m'impose des limites de ma liberté
Ça sert à rien d'hiberner, c'est toi qui te fait berner
Fin de parloir et le S.S. ose venir ricaner
Bientôt mon tour à la fouille, sapes neuves dans le sac
Baisse ton caleçon, XXX : les paroles de diksa
C'est le calvaire du maléfice carcéral
Entre les séries de pompes et les tractions sous la barre
J'entends la nuit les bruits sourds de la dépression
Mes frères sous cachetons qui succombent à la pression
Rongé par le regret, sors-moi un livre de cul
Et j'te trompe ma solitude au poignet
Parloir sauvage par la fenêtre pour parler avec mes potes
Un voyage vers l'enfer de l'âme pour rencontrer la discorde
Une vie dans le feu qui nous a brulé au troisième degré
Cloué dans un boxe, c'est la grosse peine, de force ou de grès
Monsieur ...
Ouais ?
Parloir, première série
Ouais ok, d'accord...
[Couplet 1 : Mac Tyer]
Matinal parce que c'est mon premier jour de parloir
Les bouchons du matin ne les mettrons pas en retard
J'ai cette grosse peine à purger en récidive
Me voilà solitaire dans la froideur d'une cellule vide
Deux jours plus tôt, entendu par la police
Ils veulent écouter mes voix sur des écoutes téléphoniques
Empruntes, brolic, placard à vie
Maintenant la brique nous sépare, rongé par des larmes acides
Oui j'évite les assises, pourtant mes lèvres sont scellées
Ta justice m'impose des limites de ma liberté
Ça sert à rien d'hiberner, c'est toi qui te fait berner
Fin de parloir et le S.S. ose venir ricaner
Bientôt mon tour à la fouille, sapes neuves dans le sac
Baisse ton caleçon, XXX : les paroles de diksa
C'est le calvaire du maléfice carcéral
Entre les séries de pompes et les tractions sous la barre
J'entends la nuit les bruits sourds de la dépression
Mes frères sous cachetons qui succombent à la pression
Rongé par le regret, sors-moi un livre de cul
Et j'te trompe ma solitude au poignet
Parloir sauvage par la fenêtre pour parler avec mes potes
Un voyage vers l'enfer de l'âme pour rencontrer la discorde
Une vie dans le feu qui nous a brulé au troisième degré
Cloué dans un boxe, c'est la grosse peine, de force ou de grès
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