[Paroles de "Je vous souhaite le Paradis"]
Texte fleuve plume à l’œil
J’écris avec l’iris je perds la vue au fur et à mesure que l’encre,pleure sur la feuille
J’essaie de peindre un instant d’vie avec un putain d’feutre
J’essaie d’éteindre l’incendie avec une arme à feu
Ils ont fait des bancs en zigzag pour qu’les SDF dorment pas, c’est pas sympa
S’ils savaient la misère qui s’passe en bas
Crack à Pigalle, shit à Belleville coke à Nation
Gun qui braque hôpital, fin d’une belle vie condamnation
Ligne 2 je la traverse en étant maudit
La vie nous détruira la face on finira comme Modie
« Comment tu trouves les mots dis ? » Admiratif le voisin m’pose la question
C’est eux qui m’ont trouvé, que j’lui réponds
Les rappeurs me reprochent, de leurs avoir piqué leurs fans
Est-ce qu’on reproche au temps qui passe son poison quand les fleurs fanent ?
Me voilà reparti, dans la vanité, au lieu d’être sincère
Avoir une tête ça sert, c’est peut-être, ma seule qualité
J’réfléchis à outrance, le keuf me colle un outrage
J’pensais pas qu’la haine nous tiendrai par le col à notre âge
Forcé d’constater qu’on grandit mais, qu’on est restés, mioches
Ce jeu ne finira jamais, prends ton +2 et pioche
Si tu montes sur scène avec moi c’est qu’on est restés, proches
Qu’on marchait déjà ensemble, avec rien dans les poches
Ma mère est fière d’moi…
Texte fleuve plume à l’œil
J’écris avec l’iris je perds la vue au fur et à mesure que l’encre,pleure sur la feuille
J’essaie de peindre un instant d’vie avec un putain d’feutre
J’essaie d’éteindre l’incendie avec une arme à feu
Ils ont fait des bancs en zigzag pour qu’les SDF dorment pas, c’est pas sympa
S’ils savaient la misère qui s’passe en bas
Crack à Pigalle, shit à Belleville coke à Nation
Gun qui braque hôpital, fin d’une belle vie condamnation
Ligne 2 je la traverse en étant maudit
La vie nous détruira la face on finira comme Modie
« Comment tu trouves les mots dis ? » Admiratif le voisin m’pose la question
C’est eux qui m’ont trouvé, que j’lui réponds
Les rappeurs me reprochent, de leurs avoir piqué leurs fans
Est-ce qu’on reproche au temps qui passe son poison quand les fleurs fanent ?
Me voilà reparti, dans la vanité, au lieu d’être sincère
Avoir une tête ça sert, c’est peut-être, ma seule qualité
J’réfléchis à outrance, le keuf me colle un outrage
J’pensais pas qu’la haine nous tiendrai par le col à notre âge
Forcé d’constater qu’on grandit mais, qu’on est restés, mioches
Ce jeu ne finira jamais, prends ton +2 et pioche
Si tu montes sur scène avec moi c’est qu’on est restés, proches
Qu’on marchait déjà ensemble, avec rien dans les poches
Ma mère est fière d’moi…
Comments (0)
The minimum comment length is 50 characters.