[Couplet 1]
Une époque sans repères réels, où nos crânes sont des sépultures
Avant qu'ils naissent on y enterre les rêves
Requiem d'une âme en peine, mes verbes
Sont des cris sans voix, anodins dans cette réverb' terrestre
Et chaque jour, on s'noie dans les subterfuges
Qui submergent l'ur-gence d'ôter le superflu
Qui a vite su faire oublier l'essentiel
Ce regain de bonheur interne lorsque les gens saignent
Où vont nos vies ? Ou plutôt pourquoi si vite ?
Dans les flammes du déclin pourquoi nos esprits s'y risquent ?
Le sourire sinistre d'un gosse ayant d'jà l'iris d'un homme
M'évoque la prématurité et ses limites
Les faits précisent "divers", les hommes aux liasses qui s'épaississent divergent
En plein été comment prédire l'hiver ?
Répressive chimère, quand les douleurs dépressives s'y mêlent
On en oublie les plaisirs primaires
[Refrain]
J'écris sans raison apparente, et prie
A peine vingts piges et crie : "que Dieu protège c'que j'serai à quarante"
J'écris seul la nuit pour évacuer mes carences, pour
Faire part au monde du malheur qui nous harangue tous
Mais quand le jour se lève, le première souffle réveille un souvenir et les doutes reprennent
Demain est source de rêves, mais les aurores se ressemblent toutes
Jusqu'à c'que ton dernier jour se lève
Une époque sans repères réels, où nos crânes sont des sépultures
Avant qu'ils naissent on y enterre les rêves
Requiem d'une âme en peine, mes verbes
Sont des cris sans voix, anodins dans cette réverb' terrestre
Et chaque jour, on s'noie dans les subterfuges
Qui submergent l'ur-gence d'ôter le superflu
Qui a vite su faire oublier l'essentiel
Ce regain de bonheur interne lorsque les gens saignent
Où vont nos vies ? Ou plutôt pourquoi si vite ?
Dans les flammes du déclin pourquoi nos esprits s'y risquent ?
Le sourire sinistre d'un gosse ayant d'jà l'iris d'un homme
M'évoque la prématurité et ses limites
Les faits précisent "divers", les hommes aux liasses qui s'épaississent divergent
En plein été comment prédire l'hiver ?
Répressive chimère, quand les douleurs dépressives s'y mêlent
On en oublie les plaisirs primaires
[Refrain]
J'écris sans raison apparente, et prie
A peine vingts piges et crie : "que Dieu protège c'que j'serai à quarante"
J'écris seul la nuit pour évacuer mes carences, pour
Faire part au monde du malheur qui nous harangue tous
Mais quand le jour se lève, le première souffle réveille un souvenir et les doutes reprennent
Demain est source de rêves, mais les aurores se ressemblent toutes
Jusqu'à c'que ton dernier jour se lève
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