[Paroles de "John Doe" ft. Suikon Blaz AD]
[Couplet 1 - Vald]
Dis-moi j'suis défini par quoi : par c'que j'fais
Par mon blaze, par qui m'suit, par qui m'suce, par ma Parkinson
C'est tiré par les cheveux, ça démêle rien
Et même si y'a du fond, j'suis l'seul qui l'interprète bien
Alors vient la question : à quoi bon parler si j'suis l'seul qui peut m'comprendre ?
J'en vois certains gratter, d'autres dans l'espoir d'une récompense
Mais allez viens on danse, qu'on oublie c'qu'on pense
Qu'on m'résume à une bite et du sang en abondance
Qui circule dedans, je suis la difficulté
Sampler le silence vous ridiculise sous petits tissus vous tremblez
Vous semblez croire que vous pouvez m'juger comme vous jugez les autres
Je vous planterai à mains nues, je m'suis bien affûté les os
Fixe-moi tu verras qu'un immense vide
À l'évidence ceux qui croient que j'suis fêlé quasiment prient
J'suis insaisissable comme le SIDA tapi dans l'fix
J'ai aucun blase, qui sait abritant qui
Car les soirs de pleine lune, je change
Le salon plein d'brume, je tremble
Vexé j'remplirai bien ton plexus de chancre
Mais c'est déjà l'cas
Parfois les malfrats sont vus comme des braves gars
Tu me comprendras jamais sans voir tous les fantômes qui parlent mal
Dans l'métro j'suis qu'un inconnu
Gentil devant les nymphos nues
Mon cœur s'en branle, ma tête veut des seins dodus
Perdu entre qui j'suis, qui j'veux être, et comment vous m'voyez
Mec j'suis pas schizophrène, mais j'vous ordonne de m'vouvoyer
[Couplet 1 - Vald]
Dis-moi j'suis défini par quoi : par c'que j'fais
Par mon blaze, par qui m'suit, par qui m'suce, par ma Parkinson
C'est tiré par les cheveux, ça démêle rien
Et même si y'a du fond, j'suis l'seul qui l'interprète bien
Alors vient la question : à quoi bon parler si j'suis l'seul qui peut m'comprendre ?
J'en vois certains gratter, d'autres dans l'espoir d'une récompense
Mais allez viens on danse, qu'on oublie c'qu'on pense
Qu'on m'résume à une bite et du sang en abondance
Qui circule dedans, je suis la difficulté
Sampler le silence vous ridiculise sous petits tissus vous tremblez
Vous semblez croire que vous pouvez m'juger comme vous jugez les autres
Je vous planterai à mains nues, je m'suis bien affûté les os
Fixe-moi tu verras qu'un immense vide
À l'évidence ceux qui croient que j'suis fêlé quasiment prient
J'suis insaisissable comme le SIDA tapi dans l'fix
J'ai aucun blase, qui sait abritant qui
Car les soirs de pleine lune, je change
Le salon plein d'brume, je tremble
Vexé j'remplirai bien ton plexus de chancre
Mais c'est déjà l'cas
Parfois les malfrats sont vus comme des braves gars
Tu me comprendras jamais sans voir tous les fantômes qui parlent mal
Dans l'métro j'suis qu'un inconnu
Gentil devant les nymphos nues
Mon cœur s'en branle, ma tête veut des seins dodus
Perdu entre qui j'suis, qui j'veux être, et comment vous m'voyez
Mec j'suis pas schizophrène, mais j'vous ordonne de m'vouvoyer
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