[Paroles de "Obscur spécimen"]
[Couplet 1]
J'viens d'une époque où le hip-hop n'avait rien d'attrayant
Où nos styles étaient sales, vicieux et malveillants
J'enchaînais les couplets pour joindre les deux bouts
Tout s'écroulait pourtant j'ai su comment tenir debout
Même au fond de l'impasse je restais optimiste
Je noircissais mes pages de paroles intimistes
Déjà vingt-huit ans que je m'y consacre
Hier ou maintenant, immense est le contraste
J'ai basculé, mon âmе se décompose
Pourtant j'ai voulu bousculer l'ordrе des choses
Des morceaux moribonds pour battre le rappel
J'voulais sauver le monde, je m'en sortais à peine
Faut savoir assumer face aux obligations
Faire preuve de loyauté et de motivation
Me parle pas de famille, j'vais pas sauver l'honneur
J'sors des albums pour que ma fille ait un vélo neuf
[Refrain]
Je sais qu'il est trop tard pour reconstruire
Que mes remords reviendront pour m'anéantir
J'vois la maison d'arrêt juste au bout de ma rue
J'ai ma casquette mais le soleil a déjà disparu
J'me sens perdu, prisonnier de mes craintes
Tellement de gens foutus sur le point de s'éteindre
Et l'enfer c'est les autres et l'enfer c'est les miens
Dans le désordre et l'instabilité du lendemain
[Couplet 1]
J'viens d'une époque où le hip-hop n'avait rien d'attrayant
Où nos styles étaient sales, vicieux et malveillants
J'enchaînais les couplets pour joindre les deux bouts
Tout s'écroulait pourtant j'ai su comment tenir debout
Même au fond de l'impasse je restais optimiste
Je noircissais mes pages de paroles intimistes
Déjà vingt-huit ans que je m'y consacre
Hier ou maintenant, immense est le contraste
J'ai basculé, mon âmе se décompose
Pourtant j'ai voulu bousculer l'ordrе des choses
Des morceaux moribonds pour battre le rappel
J'voulais sauver le monde, je m'en sortais à peine
Faut savoir assumer face aux obligations
Faire preuve de loyauté et de motivation
Me parle pas de famille, j'vais pas sauver l'honneur
J'sors des albums pour que ma fille ait un vélo neuf
[Refrain]
Je sais qu'il est trop tard pour reconstruire
Que mes remords reviendront pour m'anéantir
J'vois la maison d'arrêt juste au bout de ma rue
J'ai ma casquette mais le soleil a déjà disparu
J'me sens perdu, prisonnier de mes craintes
Tellement de gens foutus sur le point de s'éteindre
Et l'enfer c'est les autres et l'enfer c'est les miens
Dans le désordre et l'instabilité du lendemain
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