[Paroles de "PCGPCP"]
[Intro]
2K on the track
Là, c’est Vin’s
[Refrain]
Plus c’est gros, plus ça passe (plus ça passe, plus ça passe)
Plus c’est gros, plus ça…
Plus c’est gros, plus ça passe (plus ça passe, plus ça passe)
Plus c’est gros, plus ça…
[Couplet 1]
Trop d’bavures : devant les keufs, on détale
On vit dans un cauchemar éveillé, pour ça qu’on rêve de vendetta
Faut bien rester dans les rangs : pour l’État, on est du bétail
Un pas d'travers, on te supprime comme le clip de "Zéro détail"
Un jour, ça t'crache dessus, le lendemain, tous ces boloss copient (ouais)
À tous ces trous-du-cul, moi, j'prescris des coloscopies
On veut des grosses coupures, ouais, par chez moi, les temps s'compliquent
Toi, tu t’prends pour Dieu, mais devant l’ciel, tu restes microscopique
Poto, là, j’fais trop mal, pourtant, j'contracte même pas les muscles
J’en dis pas trop, j’attends l’album pour en déballer plus (boum)
Tu rigoleras moins quand, dans l’bras, on aura des puces
J'me méfie plus du 49.3 qu’du Coronavirus (uh)
Pas pour les âmes sensibles, c’que j’ai à raconter, c’est sale
Si t’es pas docile, sur toi, la police peut pointer ses armes (breh), hein
On a choisi l’pire des scénar’, bienvenue là où des pédophiles remportent des Césars (brr)
Tellement d'coupables, sur ce sujet, j'pourrais noircir cent pages (ouais)
J’parle pas d'Whisky quand j’te dis qu’ils aiment le douze ans d’âge
Quelques rayons d’soleil, mais surtout des orages
J’me méfie des humains, car la plupart ont des idées sournoises
On va nulle part tant qu’on rêve d’être ce qu’on est pas
Des hauts, des bas, des faux départs
T’sais, nous-mêmes, on s'connaît pas
J’peux pas t’dire c’qu’est le monde, mais j’peux t’dire c’qu’il est pas
J’ai trouvé c'qui m’détruit, pas encore c’qui m’répare
[Intro]
2K on the track
Là, c’est Vin’s
[Refrain]
Plus c’est gros, plus ça passe (plus ça passe, plus ça passe)
Plus c’est gros, plus ça…
Plus c’est gros, plus ça passe (plus ça passe, plus ça passe)
Plus c’est gros, plus ça…
[Couplet 1]
Trop d’bavures : devant les keufs, on détale
On vit dans un cauchemar éveillé, pour ça qu’on rêve de vendetta
Faut bien rester dans les rangs : pour l’État, on est du bétail
Un pas d'travers, on te supprime comme le clip de "Zéro détail"
Un jour, ça t'crache dessus, le lendemain, tous ces boloss copient (ouais)
À tous ces trous-du-cul, moi, j'prescris des coloscopies
On veut des grosses coupures, ouais, par chez moi, les temps s'compliquent
Toi, tu t’prends pour Dieu, mais devant l’ciel, tu restes microscopique
Poto, là, j’fais trop mal, pourtant, j'contracte même pas les muscles
J’en dis pas trop, j’attends l’album pour en déballer plus (boum)
Tu rigoleras moins quand, dans l’bras, on aura des puces
J'me méfie plus du 49.3 qu’du Coronavirus (uh)
Pas pour les âmes sensibles, c’que j’ai à raconter, c’est sale
Si t’es pas docile, sur toi, la police peut pointer ses armes (breh), hein
On a choisi l’pire des scénar’, bienvenue là où des pédophiles remportent des Césars (brr)
Tellement d'coupables, sur ce sujet, j'pourrais noircir cent pages (ouais)
J’parle pas d'Whisky quand j’te dis qu’ils aiment le douze ans d’âge
Quelques rayons d’soleil, mais surtout des orages
J’me méfie des humains, car la plupart ont des idées sournoises
On va nulle part tant qu’on rêve d’être ce qu’on est pas
Des hauts, des bas, des faux départs
T’sais, nous-mêmes, on s'connaît pas
J’peux pas t’dire c’qu’est le monde, mais j’peux t’dire c’qu’il est pas
J’ai trouvé c'qui m’détruit, pas encore c’qui m’répare
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